dimanche 13 janvier 2013

SIH - Yokozawa no Baai - chap 1 - part 1

Titre: Yokozawa Takafumi no Baai
Série: Sekai-ichi Hatsukoi
Auteurs: Nakamura Shungiku et Fujisaki Miyako
Rating: Tout public
Langage: Français
Résumé: Aprés ça, vous ne verrez plus Yokozawa de la même façon ♥




















                         


Le premier amour ne dure jamais— Je le savais depuis le début.

Il avait bien compris que ce n'était pas de l'amour. Lui montrer ses faiblesses, se reposer parfois sur lui … Il voulait simplement être son meilleur ami.
Pourtant, s’il ne pouvait pas mettre un terme à leur relation ... c'était parce qu'il avait toujours cet infime espoir. Il n'avait pas besoin d'être son amant, il désirait seulement être la personne la plus importante à ses yeux. Ça aurait été plus que suffisant ... de se tenir à ses cotés.





Il pouvait entendre la pluie tomber dehors, giflant l'asphalte avec violence.
C’était une musique qui faisait écho à sa propre torpeur.

La pluie tombait déjà depuis un certain temps ce soir, et pourtant même l'eau boueuse qui tourbillonnait sur le sol ne pouvait balayer la noirceur de son cœur.
Il leva les yeux vers le poste de télévision de l'izakaya qui lui servait d'abri, et remarqua qu'on annonçait de très violents orages pour toute la nuit. Il avait initialement prévu de rentrer chez lui dès que la pluie aurait cessé. Mais elle avait commencé à tomber en fin d'après midi et n'allait visiblement pas s’arrêter de si tôt. Il se rendit alors compte qu'il était déjà bien assez soûl pour quitter le bar sans mal.

Ou bien ... ce n'était peut-être qu'un prétexte.
En réalité, il voulait probablement retarder le plus possible son retour dans cet appartement rempli de souvenirs douloureux.

Même si noyer son désespoir dans le saké ne lui avait pas semblé une mauvaise idée, une douleur au ventre commençait à le tirailler. Rien de surprenant, l'alcool faisait son effet. Seul point positif : il n'avait pas encore mal à la tête.
Il fronça les sourcils à cause de la douleur et essaya de l'ignorer, quand il nota une étrange sensation contre sa joue.

– Où … suis-je ?

Sentant l'épaisseur d'un matelas moelleux sous son corps, Yokozawa Takafumi se releva lentement et fronça les sourcils, confus, en découvrant autour de lui une pièce qui ne lui était absolument pas familière. Ce n'était ni sa chambre, ni celle d’un de ses amis.
La décoration sommaire lui faisait penser à une chambre d'un hôtel d'affaires, mais il ne se souvenait aucunement d'y avoir mis les pieds la nuit dernière.
Il se rappelait juste être entré dans l'izakaya parce qu’il pleuvait à verse.

– Je n'arrive pas … à me souvenir …

Il parcourut ses souvenirs flous et ne put se rappeler que des paroles du barman qui s'inquiétait de le voir boire autant. En tout cas, il fallait se débarrasser de cette gueule de bois rapidement pour pouvoir réfléchir convenablement.

Il ne s'était jamais retrouvé dans un tel état. Après tout, il avait bien passé tout son temps à s'occuper d'une certaine personne qui aimait se retrouver dans des états similaires.
Il ne s'était jamais imaginé se réveiller un beau matin sans aucun souvenir de la veille.
Il secoua la tête énergiquement pour retrouver toute sa raison et cligna des yeux à plusieurs reprises pour les réveiller tout en massant ses paupières alourdies par le sommeil.
C'est à cet instant qu'il prit conscience de quelque chose d’étrange.

– …

Bien qu'il ne se rappelât pas s'être déshabillé la veille, pour une raison ou une autre, il était ce matin totalement nu. Comme il détestait généralement dormir nu, sa curiosité l'invita à soulever la couette dans laquelle il était enroulé.

– !?

Réalisant qu'il ne portait même pas de sous-vêtement, son sang ne fit qu’un tour et d'un geste sec il replaça la couette sur la partie inférieure de son corps.

Peut être qu'en rentrant totalement ivre, il avait ôté ses vêtements en les jetant au hasard.
En se faisant cette réflexion il parcourut la pièce du regard mais ne put trouver ne serait-ce qu’une simple chaussette et encore moins son costume.
En glissant un bras sous le lit, il retrouva avec un grand soulagement son boxer et l’enfila sous la couverture.
Il y a une grande différence entre être totalement nu, et avoir au moins un vêtement sur soi, aussi sommaire qu'il soit.

Il avait aussi remarqué un élément de taille en scrutant la pièce : le bruit de la douche en provenance de la salle de bain.
Il l'avait apparemment confondu avec le son de la pluie battante dans ses rêves.
Mais le cœur du problème était autre : qui pouvait bien utiliser cette douche ?

Jamais de sa vie il n'avait ramené un inconnu dans un hôtel de cette façon. Bien au contraire, il était fermement opposé à ce genre de pratique. Pourtant, quand il se rappela son état de la veille, il eut vite fait d'admettre qu'il avait peut-être pu être irréfléchi.

Alors qu'il était assis là, inquiet, le bruit de la douche cessa.

– … !

Il retint son souffle et se prépara à affronter la femme qui allait sortir de cette salle de bain.
Même s’il n'avait aucune idée de son identité ni de la raison qui l’avait poussée à le suivre, il savait qu’en tant qu'homme, il devait assumer les conséquences de ses actes.

Yokozawa vit défiler dans son esprit des centaines de possibilités et de configurations mais son esprit se figea lorsqu'il s'aperçut tout à coup que la personne en peignoir qui sortait de la salle de bain était … un homme.

– Oh ! Tu es réveillé ? Comment va cette gueule de bois ?

L'homme qui se tenait là, épongeant ses cheveux ruisselants tout en parlant avec un air nonchalant n’était nul autre que le rédacteur en chef de Japun, le magazine vedette des Éditions Marukawa, Kirishima Zen.



Une silhouette mince et élancée, des yeux en amande et une bouche aux lèvres minces, l'expression calme de son visage témoignant qu'il ne venait pas de tomber du lit.

Yokozawa fit de son mieux pour relancer son cerveau qui venait tout juste de planter, et d’une voix tremblante il balbutia :

– Mais … que... que fais-tu ici ?

Il n'arrivait pas à faire le rapport entre lui, tout nu, dans une chambre d'hôtel et cette personne, à qui il n'avait pratiquement jamais adressé la parole en dehors du bureau.

Kirishima lui rétorqua avec un aplomb incroyable:

– Comment ça ? Tu ne vas pas me dire que tu ne te souviens pas de ce qu'il s'est passé la nuit dernière ? Regarde un peu autour de toi, je suis certain que tu vas vite t'en faire une petite idée.
– Autour ... de moi ?

Le ton arrogant qu'avait employé Kirishima à son égard l'aurait sans nul doute fait bondir dans d'autres circonstances. Mais à cet instant, il se sentait un peu coincé. Dans un manga ou une série télé, ce serait un schéma classique : on passe la nuit à boire et on se réveille le lendemain dans le même lit, comme par magie. Mais généralement, ce genre de choses se passe entre un homme et une femme. Or, ils étaient bel et bien deux hommes dans cette chambre.
Mais même s’il se refusait à envisager cette possibilité, son pouvoir de persuasion ne faisait guère le poids face à son amnésie partielle.

Pour Yokozawa, c'était clair et limpide, il n'était pas gay même si la personne qu'il aimait depuis des années était un homme. Puisque c'était une évidence pour lui, l'homosexualité ne posait pas véritablement problème comparé à un hétérosexuel lambda.

Pour l'instant sa priorité était de se souvenir de ce qui s'était passé hier soir. Mais c'était le trou noir.
Parcourant frénétiquement ses souvenirs brumeux, il parvint à se remémorer le moment où il venait de quitter le bureau.



La veille avait été la pire journée de sa vie.
Après avoir fait une croix sur un amour qui lui avait été si cher, il avait échoué dans un izakaya qui se trouvait sur le chemin du bureau. Verre après verre, à la recherche d’une ivresse salvatrice, il se rappela alors ce qui avait amené Kirishima dans ce même bar.

– Kirishima-san … Que fais-tu ici ?
– Je cherchais un endroit pour m'abriter de la pluie et je me suis rendu compte que ça faisait un bon moment que je n'étais pas venu ici. Hé ! Tu n'y vas pas un peu fort avec la bouteille ?
– Mais non … je gère ! Quoi ? Tu es tout seul ? Mais viens donc t’asseoir ! Est-ce que je peux en avoir un autre ? Non, attendez, deux !

Ils n'avaient que très rarement partagé un verre ensemble, alors peut-être que ce soir-là, il s'était senti un peu seul et s'était dit « pourquoi ne pas lui tenir compagnie ? ».

Sans s'en rendre véritablement compte, Yokozawa avait un peu forcé Kirishima à s’asseoir près de lui. Devant cet homme ivre qu'il serait difficile à raisonner, il s’était assis et avait rejoint Yokozawa.

Il se souvint qu'ils avaient discuté des ventes d’un des nouveaux auteurs, ils avaient aussi râlé sur la lenteur des réimpressions et s’étaient plaint d’un auteur plutôt populaire qui couvait quelque chose, ce qui repoussait le rendu du manuscrit. Autant de petits désagréments d’ordinaire enfouis qui avaient pu se déverser alors librement.

Mais à part ça, c'était le black-out.

– Alors tu ne te souviens vraiment de rien ?

Un peu choqué par la question de Kirishima, Yokozawa leva les yeux vers lui et s'aperçut qu'il venait tout juste de finir de s'habiller.
En guise de touche finale, Kirishima finit d'ajuster sa montre à son poignet.
A la vue de sa silhouette élégante, il réalisa que lui avait encore les cheveux tout ébouriffés, qu’il ne s’était pas encore rasé, et surtout qu'il était toujours nu.

– Ouais … ben pas étonnant après tout, j'étais tellement bourré …
A ces mots d'excuse douteux, Kirishima lança un regard arrogant en enfonçant le clou :
– C'est bien toi qui me disais «Mais non … je gère !» lorsque je te demandais « mais tu n'y vas pas un peu fort avec la bouteille ? »
– C'était pas …

Evidemment, c’est bien ce qu’il lui avait répondu mais c'était un peu mesquin de sa part de lui rappeler ses inepties d’ivrogne. N’empêche que Yokozawa ne pouvait pas le contredire.

– Eh bien … je suppose qu'un salaryman doit avoir besoin de se lâcher de temps en temps. Mais entraîner les autres dans tes délires, c’est une autre paire de manche. Tâche d'être plus prudent à l'avenir.
– Je n’ai pas besoin que tu me le dises pour le savoir, merci.
– Ne réponds pas à tes aînés quand ils te donnent un conseil !
– Mais --- Qu'est ce que tu fais ?!

Kirishima avait tendu la main pour ébouriffer les cheveux de Yokozawa mais au moment où ce dernier voulut le repousser, un souvenir, tout à coup, lui revint à l'esprit, invoqué par la sensation de ses doigts parcourant ses cheveux.
Ce n'était pas la première fois qu'il avait été touché par ses doigts – il le sentait. La peau se souvient du contact d’un autre corps.
Il n'arrivait pas y croire, mais ils l'avaient probablement fait.
Yokozawa avait de plus en plus chaud brusquement, comme si son propre corps, de lui-même, lui confirmait l'impensable.
C'était trop effrayant d'imaginer les détails. Quel que soit l’angle sous lequel il l’envisageait, c'était clairement trop dégoutant.

– Qu'est ce qu’il se passe ? Tu es bien silencieux tout à coup. On commence à se souvenir de la nuit dernière, hein ?

Ce qui est fait est fait ; il ne pouvait pas revenir en arrière quoi qu'il advienne. Ce qui importait le plus à présent pour Yokozawa c'était simplement de savoir s’il avait été actif… ou passif.
Il n’avait pas ressenti de gêne particulière ce matin-là, ce qui le réconfortait malgré tout dans l'espoir qu'ils n’avaient pas pu aller jusqu’au bout la nuit dernière.
Et comme il ne pouvait décidément pas s'imaginer faire quoi que ce soit de son plein gré avec ce type, il était encore moins enclin à s'imaginer passif dans ses bras.
Mais par-dessus tout, il n'aurait jamais pensé que Kirishima était de ce bord.
Certes, ils n'étaient pas très proches tous les deux, alors il était logique qu’il ne soit pas au courant de ses préférences. Mais Yokozawa avait remarqué cet anneau à son annulaire et en avait conclu qu'il était probablement marié.

S'était-il réellement passé quelque chose entre eux la nuit dernière ?

– Puis-je te demander quelque chose?
– Ça dépend de la question.

Yokozawa sentait que s’il n'allait pas droit au but avec lui, il n'aurait aucune réponse satisfaisante de sa part. Il se lança donc :

– Es-tu gay ?
– Pas toi ?
– Bien sûr que non !

Il avait répondu « non » par réflexe parce qu’il ne s’était véritablement jamais considéré comme homosexuel. Après tout, il n'était tombé amoureux que d'une seule personne du même sexe. En vérité, il n'avait jamais réellement su s’il était attiré par les hommes en général ou si Takano était l’exception.

Lorsqu'ils avaient fait connaissance, Yokozawa avait une petite amie.
Mais en la délaissant pour son ami, il avait compris qu'il se sentait bien plus à l'aise avec Takano. Peu de temps après l’avoir réalisé, leur relation avait fini par couper court naturellement.
Depuis, il n’avait pas eu de relation stable. Bien entendu, d'autres filles avaient eu le béguin pour lui, mais il n’avait jamais voulu faire plus.

– C'est quoi cette réponse ? C'est bien toi qui m'a tenu la jambe toute la soirée avec ton histoire de cœur brisé par un autre type. As-tu seulement idée de combien de fois je t'ai écouté me répéter encore et encore la même chose ?
– J'ai dit ça moi ?!

Le sang de Yokozawa se glaça aux mots de Kirishima, Merde, jusqu’à quel point avait-il parlé ? Il pourrait avoir de gros ennuis s’il avait évoqué le nom de Takano ou d’Onodera…

– Sérieusement, tu ne t'en souviens pas ? Tu m’a tellement soûlé avec tes '' J’aurais pu le rendre mille fois plus heureux que ce type ! J’ai pas raison ? ». Mais pas de panique - je te rassure- tu ne m'as pas révélé son nom.
– C'est vrai ?!

Comme c'était pathétique, s’accrocher si désespérément aux paroles réconfortantes de Kirishima.
Et ce fut peut-être son regard désespéré qui poussa Kirishima à lui rétorquer, le visage tout proche du sien :

– Ne me regarde pas avec cette tête de chien battu. C'est la stricte vérité. Tu ne m'as jamais dit le nom du type. Mais vu ton expression, j'en conclus qu'il fait partie de la boîte, n'est-ce pas ?
– Bien... bien sûr … que non !

La perspicacité de sa déduction le fit frissonner. Avec un visage qu'il avait tenté de maintenir impassible, il avait menti sans hésitation. Il était quand même assez fier de lui de ne pas avoir cité les noms des personnes en question en étant à ce point bourré.

– C'était bien un gars non ? La personne dont tu étais amoureux ?
– C'est …

Il ne se souvenait vraiment pas de ce qu'il lui avait raconté la veille, mais compte tenu de l’assurance avec laquelle Kirishima lui posait cette question, il était probable qu'il connaisse déjà la réponse.

– Tu n'es pas un de ces types des bouquins de la collection Saphir, qui soudainement percute '' oh, il se trouve que la personne que j’aime est en fait … un homme ! ''. C'est impossible de concevoir que tu te sois retrouvé amoureux d'un gars comme ça, du jour au lendemain. De toute façon, si tu n’étais pas gay, tu t’en ficherais d’avoir couché avec un homme.

Yokozawa vit les épaules de Kirishima se secouer alors qu’il essayait de s’empêcher de rire. Il était entrain de se foutre de lui. Furieux, Yokozawa s’exclama :

– Qu … Qui a dit que je m’inquiétais --- et pourquoi est-ce que c’est de moi qu’on parle ?! Je t’ai posé une question !

Même s’il n’avait pas vraiment eu l’intention de s’en soucier, ne pas pouvoir se rappeler quoi que ce soit le mettait dans une situation délicate. Si tout ce qu'il redoutait s'avérait être vrai, il en mourrait de honte.

Il réalisait parfaitement que Kirishima le faisait tourner en bourrique, mais ses moqueries lui étaient insupportables, lui faisant perdre tout contrôle de lui-même.

– Pourquoi? Je n'avais jamais réalisé que tu avais envie de me connaître un peu plus… En fait, ça me va très bien, j'adore les personnalités fortes comme toi, et peu importe que tu sois un homme ou une femme.

Visiblement, toute cette affaire était sans importance à ses yeux et Yokozawa n'avait aucun moyen de distinguer le vrai du faux dans ce que ce type racontait.

– Tu es bien sûr que tu n'as jamais été attiré par les hommes ? Tu devais être un tombeur au pensionnat pour garçons.
– Bordel mais qu'est-ce que …

Yokozawa avait l'impression que ce type le méprisait totalement. Il sous-entendait que n'importe quel gars aurait pu faire l'affaire. Pourtant il savait que s’il élevait la voix et s’il laissait sa colère prendre le dessus, il aurait perdu. Malgré tout, il voulait ajouter une dernière réplique sarcastique :

– Et toi ? Tu n’es pas mieux ! Tu dois être bien désespéré pour profiter de mecs bourrés !
– Qu'est-ce que tu racontes ? C'est toi qui ne me lâchais pas d'une semelle en me suppliant de rester avec toi et de ne pas te laisser seul.
– Impossible, je n'aurais jamais fait une chose pareille !

A l'objection catégorique de Yokozawa, Kirishima répondit calmement :

– Es-tu certain d'être en mesure de me balancer ce genre de réponse alors que tu n'as plus aucun souvenir de ta soirée d'hier ? Je te conseille de fouiller un peu ta mémoire de poisson rouge avant de la ramener.
– …


A suivre ...




Note de fin de chapitre :

A chaque fin de chapitre, j'ajouterai une note explicative pour vous expliquer ou vous rappeler certains détails qui auraient pu vous échapper !

Le premier chapitre se déroule, en vérité, en même temps que le chapitre 10 de Sekai ichi Hatskoukoi - Onodera Ritsu No Baai ou l'épisode 11 de la saison de l'anime.

Takano décide d'avouer à Yokozawa ses sentiments pour Ritsu, et lui fait clairement comprendre qu'il le considère seulement comme un ami.



Aprés ça, Yokozawa le cœur brisé  retourne dans son bureau et regarde la pluie tombeé dehors, les yeux cernés de rouge.
A l'époque cette scene avait engeandré pas mal de réactions dans les communautés de fan de la série.
Les gens s’étaient alors rendus compte que ce personnage avait un cœur et des sentiment très fort à l’égard de Takano.
La scène suivante se déroule sous la pluie. Takano explique à Ritsu qu'il l'a cherché durant 10 années sans pouvoir le retrouver. On retrouve cette pluie diluvienne dans le chapitre que vous venez de découvrir.


Donc cette fameuse nuit pluvieuse fut tout aussi importante pour Takano et Ritsu que pour Yokozawa.





23 commentaires:

  1. Ah c'était super !!!
    J'ai dévoré cette partie, je suis arrivé à la fin trop vite >_<
    Vivement la suite et encore merci

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  2. Merci beaucoup pour la traduction du roman *O*
    J'ai beaucoup aimé :D
    Et vivement la suite >_<

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  3. Merci merci !! J'adore ! vivement la suite ! *¬*

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  4. Quelle bonne surprise !!
    Je désespérais de le lire en anglais xD
    Merci beaucoup de commencer ce projet !
    Plein de courage pour la suite ! *-*

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  5. J'adore !!!! Excellent ! Merci ^^ <3

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  6. Fantastique idée que de nous proposer la traduction de ce roman. De quoi combler de nombreux fans ! Merci pour votre travail, et surtout merci du partage !

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  7. Je jure que quand j'ai trouvé cette traduction... J'ai fait : "Naaaaaah, c'pas possible... C'est comme les Junai, ça sera jamais traduits..." EH BEN SI, EN FAIT!! O_O
    Vraiment, VRAIMENT, merci !!!! T^T C'est trop beau, j'y crois pas!
    Merci beaucoup! Je suis trop heureuse d'avoir pu lire ce chapitre!
    Bonne chance pour la suite! ^^

    PS: Je sais que c'est trop demandé, et après vous faites comme vous voulez, j'obligerai pas, je harcelerai pas, etc... Mais est-ce que vous comptez traduire les Junai? (Les romans d'Usagi, dans Junjo, si vous ne voyez pas)
    Si vous le faites... Bah je crois que ma crise de fangirlisme sera vite atteinte! XD


    Encore merci, et bonne chance pour la suite! ^^

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    1. Pour les Junai,je ne sais pas si ils sont sortis en anglais ... Si c'est le cas, pourquoi pas :)
      On va d'abord finir les Yoko no baii dans un premier temps ( 3 volumes de 200 pages ... c'est pas mal pour commencer ).
      Merci pour tes encouragements ^^

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    2. Il y a quelques chapitres qui sont sortis en anglais pour les Junai, mais je n'en sais pas vraiment plus... :/
      En tout cas, je remercie d'avance pour les Junai, si vous les faites... ^^

      Et j'adore vraiment ce que vous faites, c'est génial! °^°
      (Juste comme ça, ça vous prend combien de temps pour faire un chapitre? Parce que là, je vérifie tout les jours, et bah... Bah ça fait un peu bête, si c'est dans deux mois... XD)
      En bref, bonne continuation, et j'espère que vous resterez assez motivé sur le projet, c'est génial, ce que vous faites! *^*

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    3. Tu peux t'inscrire à la page fan facebook pour connaitre les mise à jour.
      Sinon, on va essayer de sortir un voire deux chapitres par semaine ^^

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  8. Mode groupie /ON
    Kyaaaaa j'adooore!!!
    Mode groupie /OFF

    Vraiment excellent travail! Pas que l'anglais me déplaise mais c'est pas le voc' que ma prof me demande... *_*
    Bref, j'ai hâte de lire la suite! Le fait que la fin de Volume 3 soit sorti m'a mis un coup au morale mais voir une traduction Française... ça me redonne le sourire =D

    Je le redit donc, Hâte de lire la suite! ^^

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  9. Juste énoooorme!!
    Je n'avais pas du tout connaissance de cette histoire, mais maintenant je ne vais plus décrocher 8D
    Moi qui détestait Yokozawa dans l'anime (sauf sur la fin) je crois que je vais beaucoup mieux l'aimer s'il s'avère qu'il tombe amoureux de quelqu'un d'autre xDD
    Hâte de lire le chap 2!!
    Merci pour cette traduction! =)

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    1. Yokozawa est à croquer en vérité ! Tu vas être agréablement surprise en lisant le suite ^^
      Merci à toi d’apprécier autant ce prologue ^^

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  10. Pauvre Yokozawa-sama... même si c'est l'histoire qui veut ça, je ne peux m'empêcher de compatir, nous sommes tous les deux dans une situation similaire (à quelques détails près)...

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  11. J"adore ! Je ne me saurai jamais imaginé un Yokozawa bourré avec en plus de sa un autre mec. Mais bon ça explique l'un des chapitre du manga où Yokozawa apparaît avec Kirishima.
    J'attends la suite avec impatience !
    Bonne chance pour la suite !

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  12. Et voilà j'ai lu :D c'est passé super vite et j'ai adoré :3 finalement, il a un coeur ce Yokozawa !

    petite parenthèse:
    "En se faisant cette réflexion il parcourut la pièce la pièce du regard mais ne put trouver ne serait-ce qu’une simple chaussette et encore moins son costume."
    Il y a deux fois le mot pièce :3 voilà voilààà
    Bon courage pour la suite !

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    1. Merci Sophie pour la coquille !
      Heureuse que ça te plaise !

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  13. kya !! j'adore ! merci beaucoup pour cette traduction ^^
    C'est passé beaucoup trop vite !

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  14. Trop classe ! J'ai hâte de lire la suite.
    Et très belle traduction, en plus, je ne pense pas avoir repéré de fautes d'orthographe. Je nage dans le bonheur ! ^^

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    1. Adriel M. (la correctrice)18 février 2013 à 12:10

      Je fais de mon mieux pour le confort des yeux ! ^^

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    2. Ça, c'est une bonne politique. ^^

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  15. Merci pour cette traduction ! Je viens enfin de decouvrir la nouvelle et je suis deja totalement fan =)

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  16. merci merci yokozawa est juste trop mignon ?
    Et c'est vrai qu'au départ je n'aimais pas trop ce perso mais apres l'avoir vu comme ça j'ai commencé a vraiment bcp l'aimé ! limite je voulais juste voir ses aventures avec kirishima merci de traduireeeeeuuh
    et merci pour les explications !!!!!

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Alors ... ça vous a plu ?