mercredi 14 août 2013

SIH - Yokozawa no Baai 2 - chap 5


Titre: Yokozawa Takafumi no Baai vol.2
Série: Sekai-ichi Hatsukoi
Auteurs: Nakamura Shungiku et Fujisaki Miyako
Rating: Tout Public

Langage: Français
Résumé: Kirishima et Yokozawa papotent dans la voiture.                                        









Le ciel, que Yokozawa observait par la fenêtre de la voiture, était teinté de violet pâle.
La journée avait filé à toute allure, sans doute parce que Yokozawa avait passé la majeure partie de celle-ci avec Hiyori.

-Pas trop fatigué ?

-Non, ça va. Je regardais simplement le soleil se coucher.

Après avoir quitté la librairie Marimo, Yokozawa, Kirishima et Hiyori s’étaient rendus dans un café célèbre, réputé pour ses délicieuses pâtisseries, avant de rejoindre le planétarium.
Puis ils avaient décidé de faire un peu de shopping pour Hiyori, afin de lui offrir de nouveaux vêtements. Ils avaient enfin terminé leur journée dans le quartier des restaurants avant de prendre le chemin du retour.

C’était toujours un plaisir de voir Hiyori s’amuser, mais il n'aurait jamais imaginé que faire les boutiques avec une petite fille pouvait être aussi éreintant. Il tirait son chapeau à tous les papas qui travaillaient la semaine et qui réussissaient en même temps à passer leurs week-ends en famille.

-Merci d’avoir porté nos paquets tout l’après-midi, au fait.

-Ça n’était pas bien méchant. Mais je dois avouer que parcourir ces boutiques toutes roses était vraiment... Pourquoi diable les femmes passent-elles autant de temps à faire du shopping ?

-Ça restera toujours un mystère pour moi.

Sur la banquette arrière, Hiyo dormait déjà paisiblement, épuisée par cette journée fatigante, à peine visible au milieu de la multitude de sacs en papier remplis de vêtements et de friandises pour Sorata qui provenaient de l'animalerie.

-Et bien évidemment, la coupable est au pays des rêves maintenant.

Yokozawa fut envahi par un sentiment de sérénité en voyant la petite fille dormir à poings fermés.

-C’était une grosse journée pour elle. Je m’excuse de t'avoir embarqué avec nous. Je suppose que le planétarium, c'est pas vraiment ton truc, n'est-ce pas ?

-Ça m'a donné l'occasion de faire une bonne sieste, au moins.

Yokozawa avait cédé à l'appel de la sieste au moment où les lumières du planétarium s’étaient éteintes. Les chaises longues avaient été si confortables qu’il avait pu remarquablement bien se reposer, si bien qu'à la fin de la vidéo, Hiyori avait été surprise de le trouver endormi.

-L'histoire était intéressante, pas du tout ennuyeuse comme par le passé et la bande son était pas mal, elle aussi.

-Est-ce que Hiyo pense que ça lui a été utile pour son devoir ?

-Ouais. La semaine prochaine, elle va chez ses grands-parents maternels au bord de la mer, elle pourra y faire un peu d’astronomie en utilisant ce qu'elle a appris aujourd’hui.

-Je vois… Alors, elle y va toute seule ?

-Elle n’a pas l'air très inquiète à ce propos. Elle est même tout excitée de monter dans un avion. C’est plutôt moi qui suis nerveux à l'idée de rester tout seul dans cet appartement vide, sans elle.

-Je comprends.

Yokozawa n'était le père de personne, mais vivre aux côtés d'Hiyori lui donnait un véritable aperçu de ce que c’était que d'en être un. Lorsqu'il la voyait partir le matin, il priait pour qu'il ne lui arrive rien de mal et lorsqu'il la retrouvait le soir, il était soulagé que sa journée se soit passée sans encombre. Une fois, elle s’était plainte d'un garçon de sa classe qui lui avait tiré les tresses ; Yokozawa avait sérieusement envisagé d’aller passer un savon à ce petit voyou insolent pour lui donner une bonne leçon.

-Les enfants grandissent sans que leurs parents ne s'en aperçoivent…

Hiyori parlait parfois avec une maturité vraiment étonnante. Yokozawa se disait souvent dans ces moments-là qu'il n'avait pas été aussi mûr à son âge.

-Elle voulait venir à la séance d'autographes en se procurant un ticket toute seule, non ? J’étais choqué quand tu as raconté ça.

-Apparemment, les instructions pour la réservation étaient imprimées dans le magazine. Elle m'a dit qu'elle les avait appelés en secret, tu te rends compte ?

Elle était déjà en CM2, alors elle n’avait aucune difficulté à prendre le train toute seule ni même à appeler une librairie pour réserver un ticket. Pourtant, c’était tout de même déstabilisant qu'Hiyori ait pu parvenir à faire tout cela sans que personne ne s'en aperçoive.

-Elle tire ça de toi. Tu as un don pour surprendre tout le monde quand tu passes à l'action.

-En fait, je n'étais pas au courant de ses projets jusqu'à la nuit dernière. Elle m'a demandé des détails sur mon emploi du temps d'aujourd'hui, alors j'ai reniflé un truc louche et elle a fini par avouer, en me disant que c’était trop embarrassant pour elle de passer par moi pour assister à l’événement, qu'elle allait me déranger et tout… Mais merde, elle était trop mignonne.

-Pourquoi embarrassant ?

Qu’y a-t-il de honteux à rencontrer un auteur qu’on aime ? Yokozawa n’arrivait absolument pas à comprendre sa logique.

-Eh bien, même si je lui avais dit que je n’étais pas l’organisateur, elle savait que j’étais impliqué. Peut-être que c’était ça qu'elle trouvait embarrassant ? Elle est sur le point de rentrer dans sa deuxième période de rébellion, après tout.

-Je n'imagine pas qu'elle puisse un jour entrer dans une quelconque phase de rébellion, honnêtement.

Hiyori aimait tellement son père que ses amis la taquinaient souvent à ce propos, en la traitant de « fille à papa ». Elle n'adoptait jamais d’attitude rebelle vis-à-vis de Kirishima et elle avait un tempérament honnête et intelligent.

Kirishima rit et Yokozawa pencha la tête, l’air interrogatif.

-Waouh, tu es un vrai papa poule maintenant ! C'est forcé qu'un enfant passe par ce genre de phase, tu sais. Quand elle était petite, ça lui arrivait de me prendre la tête pour la moindre chose, c’était horrible.

-Pourtant, c'est une gamine toute mignonne…

-Mais elle peut être sacrément têtue quand elle veut. Elle ne bougera pas le petit doigt si elle n'a pas envie de faire quelque chose. Et c'est aussi une sacrée grande gueule, tout comme moi. Je ne te raconte pas combien de fois j'ai perdu de joutes verbales contre elle.

-En même temps, tu la cherches un peu…

Yokozawa se souvenait maintenant que Hiyori grondait souvent Kirishima pour ses manières de paresseux. Il avait supposé qu'une telle attitude était le fruit de son éducation, mais peut-être était-ce dû à sa personnalité intrinsèque…

-Mais elle est gentille comme un cœur avec toi.

-C'est parce que je ne fais rien pour l’emmerder.

-J'ai toujours su que tu avais la fibre parentale, mais je n'aurais jamais cru qu'Hiyo s'attacherait à toi aussi facilement. Maintenant, j’appréhende le jour où elle viendra me voir pour me dire « Je vais épouser Yokozawa-Oniichan » !

Yokozawa ne put s’empêcher de ricaner à l’aveu de Kirishima.

-Et qu'est-ce que tu lui dirais si elle t'annonce ça ?

-Je lui dirais que je ne l'autoriserais jamais à faire une telle chose. Je ne la laisserai jamais se marier et toi non plus d'ailleurs.

-Comment ça ?

-C'est tout ce que je peux lui dire pour l'instant, n'est-ce pas ?

Yokozawa était… en fait assez soulagé par cette réponse. Il avait redouté que Kirishima puisse effectivement avouer à Hiyori la nature de leur relation. Mais le type, visiblement, semblait ne pas vouloir aller si loin pour le moment.

-Avec son complexe d’Œdipe, tu n'as pas à t’inquiéter. Quand Hiyo ramènera un garçon à la maison… je peux te garantir qu'il sera ton portrait craché.

-Si elle me ramène un gars comme moi, il prendra la porte sur-le-champ. Je n'accepterais jamais quelqu'un comme ça.

Voir Kirishima si contrarié était tellement amusant, que Yokozawa ne put retenir son fou rire. Lui qui était d’habitude imperturbable, le voir aussi énervé en parlant de sa fille était remarquablement cocasse.

-Alors quel genre de garçon tu accepterais ? Je parie que tu vas éclater en sanglots le jour de son mariage.

A la taquinerie, Kirishima répliqua du tac-au-tac :
-Tu rigoles, je chialerais comme une gamine pendant la cérémonie. Et tu peux rire, mais toi, tu seras pire que moi.

-Que le ciel me tombe sur la tête le jour où tu me verras pleurer en public.

Ils en parlaient sur le ton de la plaisanterie, mais en même temps, cela troublait Yokozawa que Kirishima les imagine toujours en couple dans un avenir aussi lointain. Hiyori se marierait… dans dix ans, au moins. Aux yeux des invités, ça pourrait paraître suspicieux qu’un simple collègue de travail assiste au mariage de sa fille. Prendre part à une cérémonie de ce genre exigeait qu'ils soient suffisamment proches l'un de l'autre.

-N'en sois pas si sûr… tu dis ça maintenant, mais tu seras probablement très ému quand ce jour arrivera.

-Mais bien sûr… répliqua Yokozawa, gêné par l’exposition inattendue des sentiments de Kirishima.

-Très bien, alors faisons un pari. Moi je te parie que tu pleureras à la cérémonie.

-Un pari pour quelque chose qui se passera dans mille ans. Et qu'est-ce que j'y gagne ?

-J'y réfléchirai en temps voulu.

-Mais merde, arrête d'avoir des idées aussi stupides à la fin.

Il était impossible de dire comment leur relation évoluerait à l'avenir, même si Yokozawa faisait de son mieux pour que ce soit sous les meilleurs auspices. Ces derniers temps, il avait passé tant de temps tourné vers le passé, qu'évoquer ainsi un hypothétique futur à deux ne laissait à Yokozawa qu’un tout petit sentiment d'espoir.

-Au fait, ça n'a rien à voir, mais j'aimerais que tu me confirmes quelque chose.

-Quoi ?

-Cette fille avec les lunettes, de chez Marimo, c'est la fille que tu as aidée dans le train l'autre jour ?

-C-Comment tu le sais ?

Il resta bouche bée face à cet incroyable sens de l'observation. Kirishima n’était pourtant pas là lorsqu'elle avait évoqué le sujet de l'incident du train ce matin. En outre, cette question signifiait qu'il n'avait probablement pas entendu parler de cette histoire par les autres.

-N'importe qui s'en serait aperçu. Tu dois vraiment être aveugle pour ne pas remarquer qu’elle te dévorait des yeux. Elle craque méchamment pour toi, c'est évident, conclut Kirishima d’un air désabusé.

-Mais tu délires, là ? rétorqua Yokozawa dans un grognement.

Kirishima se tourna vers lui, l’air abasourdi :

-Ma parole, tu n'as vraiment rien vu, en fait ? Tu ne crois pas qu'elle voulait t'inviter à dîner ou un truc du genre tout à l'heure ? Elle ne t'avait pas dit qu'elle voulait te remercier la dernière fois ?

-… Oh…

Yokozawa se rappela soudain que, lorsqu’Hiyo avait fait irruption dans la salle, Matsumoto avait été sur le point de lui demander quelque chose, après s’être assuré qu'il avait bien terminé son travail. Après l'avoir sauvée dans le train, elle avait aussi beaucoup insisté pour le remercier.
Alors peut-être… qu'elle désirait effectivement…

-Finalement, c'est peut-être mieux que tu n’aies rien remarqué. Tu n’aurais probablement pas pu aligner deux mots si tu avais réalisé à quel point elle craque pour toi.

-C'est pas…

-C'est pas vrai ? Tu peux honnêtement me dire ça, à moi ?

-......

Il ne pouvait pas nier l'évidence. Il n'avait aucun moyen de savoir si oui ou non il aurait gardé son sang-froid, si elle avait ouvertement manifesté son intérêt pour lui, comme Kirishima le suggérait.

-Je suis certain que vous allez vous rencontrer à nouveau à la librairie, alors assure-toi de ne pas lui donner de faux espoirs, beau gosse ! Ne fais pas quelque chose de stupide, comme par exemple, te retrouver tout seul avec elle…

-Comment ça, « lui donner de faux espoirs » ?

-Elle risque de penser que quelque chose pourrait se passer entre elle et toi si tu es trop gentil avec elle.

-Mais tu délires, les choses ne se passent jamais comme ça. Elle est juste un peu attachée à moi, rien de plus.

Il pouvait comprendre qu'une fille puisse craquer pour Yukina, mais pour quelqu'un comme lui ? C’était tout bonnement impossible. Il était évident qu'elle était reconnaissante envers Yokozawa, mais il était à des années-lumière de s'imaginer qu'elle puisse tomber éperdument amoureuse de lui.

-Eh bien, si ça avait été moi, j'aurai craqué pour toi en un éclair.

Son visage s'éclaira face à la désinvolture de ce commentaire murmuré par Kirishima.

-… Ne crois pas que tout le monde a tes goûts de chiottes.

Kirishima soupira profondément à la réplique auto-dévalorisante que Yokozawa avait lancée pour dissimuler son embarras.

-Putain, tu ne pourrais pas arrêter de te rabaisser sans cesse ? Tu n'as pas encore capté qu'il y a de plus en plus de filles qui te tournent autour ces derniers temps ?

-Pas plus qu’a…

…vant », allait-il dire. Mais il s’interrompit.
Bien sûr, on l'invitait à sortir au département commercial, accompagné d'Henmi et de ses collègues, mais ces derniers temps, il y avait eu, en effet, une augmentation des invitations qui lui étaient adressées personnellement.

-Tu ne l'as peut-être pas remarqué, mais ton aura a un peu changé. Beaucoup de gonzesses n’arrêtent pas de dire que tu es devenu plus sympathique et plus abordable.

-Ok, c'est vrai. Et si c'est le cas, comment je suis censé réagir ?

C’était bien joli de pointer du doigt son aveuglement, mais Yokozawa avait envie qu'il arrête de tourner autour du pot.

-Vas-tu finir par me dire où tu veux en venir ?

-En bref, je suis très heureux d’être l'instigateur de ton changement soudain… mais je n'aime pas l'idée que ça te rende plus populaire.

-Quoi ?! Mais bordel, qu'est-ce que tu dis ?!

Un frisson parcourut tout son dos lorsque Kirishima prononça ces mots avec un visage grave. Il se surprit à observer avec insistance son profil, mais l’autre ne semblait absolument pas plaisanter cette fois.

-C'est toi qui voulais que je crache le morceau.

-Oui, mais… balbutia Yokozawa, incapable d'aller plus loin.

Alors il se mordit les lèvres et se tut. C’était certes lui qui l'avait poussé à avouer, mais il ne s’était pas attendu à ce qu’il lui sorte une chose pareille. Et il n’était pas en mesure de protester non plus, car Kirishima ne plaisantait pas, ni ne cherchait à le réprimander.
Il avait en somme creusé sa propre tombe.

-Pas besoin de rougir pour des trucs comme ça après tout ce temps. Même si je dois l'avouer, ça fait partie de ton charme.

-Quoi qu'il en soit, juste, tais-toi.

-Oui, monsieur !

Les lèvres de Kirishima s’étirèrent en un mince sourire quand Yokozawa répliqua, l’air irrité.
Il le regardait du coin de l’œil comme on regarde un enfant qui aurait piqué une crise de colère. Mais au moins, s’il rit un peu, il n'ajouta pas un mot.

-… Papa…

Quand le silence s’abattit dans la voiture, ils entendirent Hiyori parler dans son sommeil. La voix douce de l'enfant rappela à Yokozawa que la conversation qu’ils venaient d’avoir n’était pas appropriée face une petite fille de son âge. Ils avaient eu de la chance qu'elle fût profondément endormie, car ils n’auraient pas su comment se justifier si elle les avait entendus.
Pour éviter de commencer une autre conversation dont il se serait bien passé, Yokozawa garda le silence, feignit la somnolence et posa la tête contre la vitre, les yeux fermés.

Alors, Kirishima, d'une voix douce, lui demanda:
-Tu veux dormir ?

C'est ce qu'il voulait lui faire croire. Il resta alors silencieux, prétextant le sommeil, et entendit à peine le petit rire discret qui suivit. Il était difficile de dire si Kirishima était tombé dans le panneau ou s’il se moquait simplement de Yokozawa.

-… Dors bien alors.

-!

Une main se posa doucement sur sa tête et lui ébouriffa tendrement les cheveux. Yokozawa ravala les grognements de plaisir qu'il faillit laisser échapper. Son cœur tambourinait dans sa poitrine, battant si fort contre ses tempes, qu’il craignait que Kirishima ne l’entende.
Il durcit ses traits pour contenir son agitation, en espérant que son sommeil feint ne soit pas découvert.

A suivre...

16 commentaires:

  1. Ils sont trop chouuuuu ! j'adore comme Kirishima est jaloux xD *caline*

    Mais en tout cas... Merciiiiiiii ! Super taf comme toujours ! ^_____^

    RépondreSupprimer
  2. Mais ils sont trop chouxxxxxxxxxxxxx <3 <3 <3

    RépondreSupprimer
  3. merci beaucoup tres attachant

    RépondreSupprimer
  4. J'ai beaucoup aimé. Surtout le côté jaloux de Kirishima qui d'ailleurs ne le cache pas. :) Je lis toujours les chapitres avec un grand sourire sur les lèvre. Vous faites un super bon boulot. <3
    À bientôt !

    RépondreSupprimer
  5. TROOOPPP CHOUUUUU! trop mimi kirishima jaloux^^

    RépondreSupprimer
  6. Oui, Kirishima est JALOUX, avec un grand "J" et vous pouvez bien l'inscrire en premier dans la liste des caractéristiques de sa personnalité. ^^"

    RépondreSupprimer
  7. j'adooooooooooooooooooore !!!! merciiiiiiiiiiiiiiii !!!

    RépondreSupprimer
  8. Ahahah ! Et un Kirishima jaloux. Un !
    Et bien sûr, Yokozawa ne se rend compte en aucun cas qu'il attire les femmes. Ça, c'est un cliché qui est trop souvent utilisé, je pense. Mais bref, il est trop mignon alors c'est pas grave. ^^

    Merci pour ce nouveau chapitre !

    RépondreSupprimer
  9. =3 houhou jalousie quand tu nous tiens! Chapitre adorable! merci et courage pour la suite!

    RépondreSupprimer
  10. kyyyaaaaaa trop kawaii *w* !
    yokozawa n'a vraiment pas l'air de se rendre compte de son carme... alors qu'il est tellement *bave*
    ces deux la ils ont un don pour faire des choses comme ca alors qu'hiyori est a coté et qu'elle pourrait a tout moment les voir/entendre !
    Kirishima est possessif j'adore >w< il dit des choses trop mignonnes !
    je suis sure que leur couple tiendra assez longtemps jusqu'au mariage d'hiyo, même plus ! *w* ils sont tellement géniaux !
    merci pour ce chapitre! ^^

    RépondreSupprimer
  11. *bavouillachone* *q* j'adore le kirishima jaloux!
    il sont trop chou tout les 2 ^o^

    RépondreSupprimer
  12. Je viens de découvrir votre travail et je n'ai qu'une chose à la bouche : bravo !
    J'ai passé un bon moment et j'ai hâte de découvrir la suite.
    Bon courage à vous !

    RépondreSupprimer
  13. @Ambroisie
    Merci beaucoup ! En espérant que la suite te plaise :)

    RépondreSupprimer
  14. @Mitsuki Ahah, certain adorent, d'autres détestent ^^

    RépondreSupprimer
  15. Comment c'est trop mignon >///< *retour de vacances, rattrapage intensif*
    Ce couple me fera vraiment toujours craquer <3
    Toujours un super boulot, merci !!

    RépondreSupprimer
  16. Décidément, vos traductions sont toujours des cadeaux pour mes journées de vacances! En plus j'attendais avec impatience ce chapitre ci! <3

    Je trouve vraiment que la jalousie colle très bien à Kirishima, car pour une fois -alors qu'on est dans un manga- il n'en fait pas trop. Ca reste très adulte je trouve, ça tombe pas tellement dans l'exagération qu'on peut voir dans certains Yaoi on tu te dis: Roh mais laisse le vivre!
    Vraiment, ce genre de sentiments de la part de Kirishima, ça passe très très bien dans le couple. Surtout que le caractère de Yokozawa va dans ce sens.

    C'est d'ailleurs vraiment mignon de voir qu'il peut passer de l'homme d'affaire sérieux et appliqué à l'amant en manque total de confiance dans ses sentiments et à l'ouest total par rapport au regard des autres. TvT <3

    Vraiment y a pas à dire, ce couple là est juste... Génial. • v •

    Et puis bon bah... le coup de la petite caresse sur la tête dans la voiture, comme un papa, c'est cliché mais qu'est-ce que c'est chou. T w T <3

    En tout cas, merci beaucoup pour votre super travaille! J'ai beau avoir lu les romans en anglais, j'ai vraiment l'impression de redécouvrir l'histoire en lisant vos traductions! Quel beau travail, vraiment! <333

    RépondreSupprimer

Alors ... ça vous a plu ?