Série: Sekai-ichi Hatsukoi
Auteurs: Nakamura Shungiku et Fujisaki Miyako
Rating: Tout Public
Langage: Français
Résumé: J-4 avant la sortie du 5eme volume ! Et nous somme aussi à deux semaines de la sortie du film >.< Que d'impatience !!
En fin de compte, il n'avait pas eu l'occasion de mettre les choses à plat avec Kirishima, et même si, certes, il y avait encore de la marge avant que cela devienne urgent, il ne pouvait pas prendre les choses à la légère.
Après avoir quitté la salle de conférences, Yokozawa ne put supporter l'idée de retourner tout de suite au service commercial, alors il se dirigea vers la salle de pause. Même s'il savait que tout le monde l'attendait dans son service, il avait besoin de souffler un peu. Il travaillerait jusqu'au dernier train ce soir de toute façon, donc ça importait peu qu'il ait dix minutes de retard.
La gorge sèche, il chercha de la monnaie dans sa poche pour s'acheter un café au distributeur, ayant décidé de retourner au service commercial après l'avoir fini. Après avoir brièvement envisagé de sortir aussi fumer, il repéra un visage familier.
-Tu prends une pause, toi aussi ?
-Ah, oui.
Le visage fatigué qui le salua était celui du bras droit du rédacteur en chef d'Emerald, Hatori Yoshiyuki. Yokozawa était plus qu'habitué à voir des gens éreintés en plein milieu de leur « zone rouge » chaque mois, mais il était certain que ce n'était pas encore la fin du cycle. Avait-il rencontré des problèmes ?
Même si la fonction d’éditeur n'exigeait pas un code vestimentaire strict, Hatori portait un costume au travail — un style qui correspondait parfaitement à sa personnalité. Il était presque aussi asocial que Yokozawa lui-même, mais il savait être parfaitement courtois avec ses auteurs, obtenant souvent plus d'affection et d'admiration que ce qui devait habituellement lui être dû dans le cadre d’une simple relation professionnelle. Si ce genre d'attentions pouvait créer des problèmes, il semblait savoir manier habilement ses auteurs et gérer son travail avec sang-froid. Le service d’édition avait des horaires flexibles, mais Hatori arrivait tous les jours à la même heure et restait à son bureau jusqu'à tard dans la soirée. En outre, il parvenait à assister son audacieux rédacteur en chef sans faillir. Son côté travailleur faisait de lui le commercial idéal, aussi Yokozawa avait-il occasionnellement essayé de le recruter autour d’un verre, mais Hatori avait sèchement refusé.
-Tu n'as pas l'air dans ton assiette. Qu'est-ce qu'il se passe ?
-L'adaptation en anime d'une série sur laquelle je travaille était sur le point d’être bouclée, quand elle a brusquement été remise en cause il y a quelques instants.
C'était rare de voir quelqu'un comme Hatori aussi abattu. Yokozawa avait entendu dire qu'un de ses mangas allait être adapté en série animée — naturellement, le service commercial avait été contacté pour commencer à préparer la campagne publicitaire et pour commander bientôt une réédition de la série concernée.
-Pourtant, ils devaient avoir sacrément bien avancé dessus pour avoir déjà notifié l’auteur, alors pourquoi est-ce qu’ils...
-Apparemment, la société de production de l'anime a fait un flop avec l'adaptation en anime d'un manga shojo, du coup, ils ont décidé d’être plus prudent dans le domaine des productions visant un public féminin. Alors maintenant ils veulent tout revoir...
Yokozawa avait eu vent des pertes qu'avait rencontrées la compagnie avec cette licence. Bien sûr, puisque ce n'était pas un titre de Marukawa, il n'était pas au courant de tous les détails, mais apparemment, dans une émission du mangaka original diffusée sur internet, son éditeur avait fait une apparition et avait été forcé de confirmer une adaptation en anime. L'annonce ayant été faite en public, l’agence n’a pas eu d’autre choix que de s’y conformer. Yokozawa ne savait pas s'il y avait une part de vrai dans l'histoire, mais depuis, la compagnie avait banni toute apparition médiatique inutile.
-Ouais… En même temps, c’était peut-être un peu trop risqué de tenter une adaptation en anime avec ce titre. Aussi célèbre que soit l'auteur, ce manga n'avait pas vraiment la carrure pour assumer une telle adaptation, et même si ça aurait fait un bon drama, l'option de l'anime était beaucoup plus discutable.
Même si le rendu final était bon et que le produit était accueilli par le public avec beaucoup d'enthousiasme, s’il ne rapportait pas assez d'argent pour rembourser au moins les frais de production, ça n'en valait pas la peine.
Dans le monde de la vente, le déficit était synonyme d’échec.
Ainsi, il était extrêmement important de choisir le bon moment pour adapter un manga en anime. Un faux mouvement, et tout pouvait virer au drame.
-Ils ont laissé tomber l'idée d'une seconde saison, il semblerait, répliqua Hatori. La production refuse d'avancer les fonds pour un produit qui ne se vend pas.
-Bah, il faut qu'ils récupèrent l'argent qu'ils ont dépensé jusque-là… ils envisagent probablement de mettre en place des mesures de régulation tant que la plaie est encore superficielle. À mon avis, on a juste été pris entre deux feux dans leur lutte tout à fait compréhensible pour refuser la deuxième saison de cet autre anime.
-Ça a probablement beaucoup joué, oui.
-N’empêche, c'est totalement débile de comparer ce manga au tien. Les thèmes sont complètement différents. Leur seul point commun est leur public féminin. C'est franchement déraisonnable qu’ils décident tout seuls si cette série aura du succès.
Tous les titres sur lesquels Hatori avait travaillé avaient eu d'excellentes critiques après tout. Devant la tirade irritée de Yokozawa, Hatori hoqueta de stupeur, choqué.
-Yokozawa-san, tu... tu lis les mangas que j’édite ?
-Hein ? Qu'est-ce que tu racontes ? Évidemment ! Je lis toujours tout ce que j'essaie de vendre. J'admets que c'était un peu fade au début, mais quand j’ai lu le second volume, j'ai enfin compris où l’auteur voulait en venir.
Il n'avait pas le temps de lire tout ce que Marukawa publiait, mais il s'assurait de suivre les ouvrages dont il se chargeait dans le cadre de son travail.
En vérité, il n'avait jamais lu de mangas shoujo avant de travailler à Marukawa. Dans le passé, il avait jugé le genre trop mièvre, mais quand il avait enfin pris le temps de parcourir sérieusement l’une de ces œuvres, sa perception avait radicalement changé. Cela lui avait rappelé qu’il y avait des lectures intéressantes à faire dans tous les genres.
Bien sûr, il rencontrait parfois des contenus embarrassants à lire, mais c'était probablement l’intention de l'auteur. Parmi les travaux supervisés par Hatori, en particulier, les titres de la poule aux œufs d'or d'Emerald, Yoshikawa Chiharu, semblaient déborder d’émotions et de sensibilité.
Peut-être que l'équilibre subtil entre les scènes sérieuses et les moments comiques était la raison de son succès auprès des lectrices. Aucune mélancolie ne subsistait à la lecture d'un chapitre relativement sérieux et les touches comiques permettaient d'ajouter aussi des scènes plus légères et mignonnes.
-Merci beaucoup.
-Ah et puis… ne te décourage pas s’ils n'ont pas l'air intéressés. Va voir ailleurs : c'est une bonne série, alors je suis certain que tout va s’arranger. Fais en sorte qu’ils s’en mordent les doigts d’avoir rejeté le projet ! s’exclama Yokozawa avant de marquer une pause. Maintenant... dis-moi exactement ce qui t'inquiète autant…
-C'est juste que... l'auteur était tellement content que le développement de l'anime ait été décidé. Je me demandais comment lui annoncer la nouvelle… mais je ferai comme tu as dit, Yokozawa-san. Je vais commencer à chercher un autre studio de développement pour relancer le projet.
Il avait l'air de prendre en compte les conseils de Yokozawa et commençait à y réfléchir. L’expression découragée qu'il affichait auparavant semblait avoir complètement disparu.
Le rédacteur en chef du mensuel Emerald, Takano, était connu pour ses redoutables méthodes de travail, mais la fiabilité infaillible de son second, Hatori, n'était pas non plus à prendre à la légère. C’était un stratège qui amassait une quantité impressionnante d’informations sur tout ce qu'il entreprenait, avait toujours plusieurs coups d'avance sur les autres et qui attendait que tous ses pions soient en place pour agir. Yokozawa ne doutait pas un instant que cette compagnie regretterait de ne pas avoir collaboré avec Hatori.
-Au fait… est-ce que tout va bien de ton côté ? demanda Hatori.
-De quoi tu parles ?
-J'ai juste entendu dire que quelque chose avait horriblement mal tourné chez vous.
On dirait que les rumeurs sur le désastre du service commercial avaient déjà fait leur petit chemin au bureau. C’était à prévoir : ils n'avaient même pas essayé de faire taire les rumeurs, et en réalité, Yokozawa pensait que toute erreur se devait d'être gérée avec la coopération de toute l'entreprise. Malgré tout, il n'avait pas pensé que la nouvelle se répandrait si vite.
L'employé qui avait été muté s'était principalement occupé de la vente de mangas shonen, et — dieu merci — il semblait qu'aucun des titres et des projets d'Emerald n'avait été affecté par son manque de professionnalisme.
-Les choses s'arrangeront d'une manière ou d'une autre.
Rattraper les erreurs des autres n'était pas chose aisée. Mais pour être honnête, ils avaient les capacités pour mener à bien cette mission. Ils avaient plusieurs alternatives à leur disposition. Mais si Yokozawa avait justement choisi de s'impliquer personnellement, c’était parce qu'il avait la certitude qu'ils pourraient même dépasser les prévisions de vente. Bien sûr, cela prendrait du temps, mais tout marcherait pour le mieux s'il se passait de vacances cette année.
-Alors... quelque chose d’autre t’inquiète, dans ce cas ? Tu n'as pas l'air dans ton assiette, toi non plus.
-C’est presque agaçant que tu sois si perspicace, tu sais ?
-Pardon.
En effet, son esprit aiguisé était troublant par moments. Alors qu’il avait l'air de ne pas se soucier des problèmes des autres, dès que quelqu'un était de mauvaise humeur, il savait habilement manier la personne en question pour infléchir l'atmosphère de la pièce du tout au tout. C'était la preuve qu'il était très sensible au monde qui l'entourait.
Yokozawa s'inquiétait en réalité pour l'anniversaire de Hiyori, qui aurait lieu à la fin du mois. C’était devenu une tradition pour elle d'inviter des amis à la maison chaque année et d'échanger des cadeaux. Alors qu'elle proposait habituellement à ses amis quelque chose d’acheté en magasin, comme du poulet ou des sandwichs, cette année, Yokozawa voulait se donner à fond pour réaliser le souhait de la petite fille: « J'ai vraiment envie que tu cuisines pour mon anniversaire cette année, Oniichan! »
Le sujet avait été abordé quand, au lieu de s'échiner à lui chercher lui-même un cadeau, il lui avait directement demandé ce qu'elle voulait — et c’était ce qu’elle lui avait répondu. Ça n'était pas vraiment difficile de cuisiner pour Hiyori, mais étant donné que c'était un repas pour sa fête d'anniversaire, il devait s'assurer que cela plaise aussi à ses amis. Qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir faire ?
Peut-être était-ce parce qu'elle avait grandi en mangeant la cuisine de sa grand-mère, mais les goûts d'Hiyori étaient plutôt raffinés. Malgré tout, il ne pensait pas qu'il en soit de même pour les autres enfants. Il devrait vraiment sortir le grand jeu pour préparer un banquet extravagant pour l'occasion.
D'un point de vue extérieur, cela semblait probablement stupide de stresser autant pour si peu, mais pour Yokozawa, c'était un des moments les plus importants de toute sa vie. La nécessité de ne pas embarrasser Hiyori devant ses amis pesait lourdement sur ses épaules.
Il avait initialement songé à consulter Kirishima à ce sujet, mais il avait finalement mis cette option de côté. Il ne servirait à rien de demander de l'aide à un gars qui ne savait rien cuisiner de plus difficile que du porridge, après tout. Mais s'il prenait le risque de demander conseil à une des mères de famille au bureau, des rumeurs se répandraient dans la compagnie en un claquement de doigts, sans aucun doute.
-Eh bien, s'il y a quoi que ce soit que je puisse faire, n'hésite pas à me demander. Nous te demandons toujours l'impossible, alors c'est le moins que je puisse faire, proposa anxieusement Hatori, son inquiétude ayant probablement grandi quand Yokozawa s’était tu, perdu dans ses pensées.
-Oh… non, vraiment, ça va. Je m'assurerai que ce sujet n'affecte pas ton équipe. C'est plus un problème personnel qui me préoccupe…
Il s’interrompit brusquement, quand il réalisa qu'il s'apprêtait à traiter Hatori comme un cahier de doléances personnel. Il se rappela alors quelque chose qu'il avait entendu un jour.
-Au fait, t'es... plutôt doué niveau cuisine, non ?
-Je ne dirais pas que je suis « doué », mais je me débrouille, répondit-il à la question soudaine de Yokozawa avec un air interrogateur.
-Je suis presque certain d'avoir entendu Takano dire que ta cuisine rivalise avec celle d'un chef professionnel. Tu as pris des cours quelque part ?
-Pas vraiment… j'ai aidé ma mère à faire la cuisine, donc ça m'est venu plutôt naturellement. Puis à la fac, j'ai commencé à vivre seul, donc c'est devenu plus une nécessité qu'un passe-temps. Mais pourquoi cet intérêt soudain ?
-Oh… c’est juste que je cuisine aussi pour moi, mais j’ai un répertoire assez limité de recettes. Je me demandais simplement ce que tu pourrais me recommander...
Il ne pouvait pas lui demander directement ce qu’il voulait, alors il avait infléchi la conversation dans une direction plus générale et vague… mais peut-être que sa manœuvre avait été trop évidente ? Il n'empêche, c'était moins louche que d'être trop hésitant et obséquieux, se rappela-t-il, aussi avait-il ouvertement posé sa question.
-J'ai l'habitude de naviguer sur les sites de recettes et d'acheter des livres et des magazines de cuisine, personnellement. J'ai des goûts assez précis, donc j'essaie de tester un grand nombre de recettes différentes.
Yokozawa cligna des yeux à plusieurs reprises, surpris par la réponse inattendue.
-Alors, même toi, tu n’aimes pas certaines choses...
-Ah eh bien... oui, même si je n'irais pas jusqu'à dire que je déteste un plat en particulier. Pas plus que la plupart des gens, du moins.
Était-ce son imagination, ou Hatori avait-il l'air gêné, à cet instant ? Peut-être qu’il ne voulait pas que les gens sachent qu'il était difficile. Décidant de ne pas insister davantage sur le sujet, Yokozawa lui offrit ses remerciements :
-Merci, je prends note de tes conseils.
-J'espère que j’ai pu t’aider.
Yokozawa n'avait pas eu l'idée de consulter un livre de cuisine jusqu'à ce que Hatori ne le suggère — en partie parce que Marukawa Shoten ne proposait pas beaucoup d’ouvrages destinés aux ménagères. Il trouverait probablement une compilation de recettes pour les fêtes dans n'importe quelle librairie, s'il cherchait. Son problème ayant été partiellement résolu, il sentit son humeur s'améliorer.
-Bon ben... je pense que je vais retourner travailler !
Écrasant dans sa main le gobelet de café désormais vide, il le jeta dans la poubelle. Il sentait sa motivation grimper en flèche. Dans un premier temps, il s'occuperait du problème qu'il devait résoudre, avant de commencer à planifier le menu de la fête.
-J'y vais, alors, s’exclama-t-il avec un petit signe de la main en quittant la salle de pause.
A suivre.

Tori ! <3 C'est sympa de voir les bonnes relation que Yokozawa peut avoir avec les perso de SiH ^^ Ca donne une autre vision de la série je trouve ^^
RépondreSupprimerEn tout cas Yokozawa est toujours aussi chou à s'inquiéter de ce qu'il va faire à la fête d’anniversaire de Hiyo ! Il est adorable ce mec *¬* Kirishima a de la chance quand même...
Merci merci pour ce super chapitre comme d'hab ! <3 *fait un bisou à l'équipe*
Kyyyaaa toujours aussi génial >///<
RépondreSupprimerCe serait génial de voir les préparatifs de l'anniversaire avec Kirishima taquinant Yokozawa dans la cuisine et ensuite... mouahahaha je ne dis pas le fond de ma pensée perverse ^^
En tout cas super chapitre, bon courage pour la suite!!
@Anonyme : tu ne vas pas être déçue alors ^^
RépondreSupprimerMerci pour ce chapitre c est bien de voir d autres membres d emerald et de voir une autre facette de Hatori lui qui parait froid dans SIH.
RépondreSupprimerbonjourrrr !!!!!!! je suis depuis quelque temps les chapitres que vous publié !!!!!! et je vous en remercié !!!!! vous m'avez fait découvrir ce qu'était un light novel !!!! je ne peut m'empêchée de vérifié chaque jour si vous n'avez pas publié un nouveau chapitre tellement votre travaille est un chef d'ouvre !!! surtout que yokozawa est tros cute !!!!!!!! sinon je vous souhaite une très bonne continuation et vous remercie de nous régaler avec vos magnifique traduction !!!!!!
RépondreSupprimerMerci encore pour votre travail !!!! Qu'est ce que j'ai hate de lire la suite !!!!!!
RépondreSupprimer@Anonyme : Merci beaucoup pour ton commentaire !! C'est vraiment gratifiant de lire ce genre de message :)
RépondreSupprimerMerci pour ce nouveau chapitre. Yokozawa est toujours aussi mignon. Qu'est qu'il vas faire pour l'anniversaire ?
RépondreSupprimerMerci pour ce chapitre <3 !
RépondreSupprimerC etait marrant de voir les relations de Yokozawa avec d autres collègues ^^ je pensais pas qu il s entendait bien avec Hatori, ca m a un peu surpris ... En tout cas j ai vraiment envie de voir comment il va s expliquer avec kirishima et aussi ce qu il va preparer pour Hiyo *w* (il est vraiment intentionné c est trop mignon ^^").
Encore merci ! J ai jate de lire la suite !! >w<
@feilong-kun , ça t'a surpris... mais est-ce que ça t'a étonné ? Yokozawa s'entend bien avec tout les gros charismes de la série après tout ;)
RépondreSupprimercoucou les fille !!!! je vous remercie énormément pour votre travaille , vos traduction si bien interprété que l'on ne peut s'en lasser !!!
RépondreSupprimerje vous suis depuis longtemps et sa serais donc pour savoir quand doit sortir le prochain chapitre s'il vous plais car je suis super impatiente !!!!!! :D
Excellent Chapitre !!! Je verrai bien nos 2 Tourtereaux se mettre de la Chantilly partout, pour ensuite se faire lécher l'un par l'autre...Kyaaaa !!!!
RépondreSupprimerJe viens de me rendre compte de mon retard de lecture ><
RépondreSupprimerMerci pour ce chapitre avec Hatori
Yoko est trop chou à s'inquiéter pour ce qu'il va faire à manger pour l'anniv d'Hiyo <3
Merci de traduire ce chapitre! Yokozawa est trop mignon de s'inquiéter de ce qu'il va cuisiner pour la fête d'anniversaire:).
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup l'affection sincère de Yoko pour la petit Hiyo. Il l'aime comme si lui aussi c'était son père c'est vraiment très touchant.
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