jeudi 21 août 2014

SIH - Yokozawa no Baai 3 - Chap 13

Titre: Yokozawa Takafumi no Baai vol.3
Série: Sekai-ichi Hatsukoi
Auteurs: Nakamura Shungiku et Fujisaki Miyako
Rating: Tout Public

Langage: Français
Note: Plus que 2 chapitres avant la fin !










Yokozawa ne parvenait pas à comprendre un seul mot du livre qu'il avait sous les yeux. Il s’était décidé à bouquiner, faute de programmes intéressants à la télévision, mais à chaque fois qu'il tournait une page, il devait revenir en arrière pour relire la précédente.

Kirishima tardait à rentrer à la maison, après son passage à l’hôpital sous escorte policière.

Sorata dormait avec la plus grande insouciance à sa place habituelle. Yokozawa avait vainement essayé de jouer un peu avec lui, afin de bannir son trouble. Mais peut-être parce qu’il avait remarqué son état, le chat lui avait refusé sa compagnie. En tout cas, Sorata n’était pas, lui non plus, de très bonne humeur ce soir-là, sans doute à cause de l’absence d’Hiyori.

Yokozawa pensait qu'elle se serait inquiétée en apprenant que son père avait été impliqué dans un accident, alors il l’avait confiée pour la nuit à ses grands-parents, sous prétexte du retour tardif de Kirishima à cause du travail. Ainsi, Yokozawa avait été chargé de garder la maison avec Sorata.

Après un regard sur la pendule accrochée au mur, Yokozawa vérifia pour la énième fois son téléphone portable pour s'assurer qu'il n'avait pas manqué d’appel.

-Bon sang, impossible de me calmer... soupira-t-il.

C'est alors qu’en provenance du genkan retentit le bruit caractéristique d'une clé qui tourne dans une serrure. Yokozawa sursauta. La voix familière de Kirishima, égale à elle-même, parvint jusqu'à ses oreilles.

-Je suis rentré !
-!

Il courut à sa rencontre avec Sorata sur les talons et trouva Kirishima en train de retirer ses chaussures dans le genkan. C’était bien le Kirishima habituel, nonobstant les bandages qui recouvraient sa cheville et son bras.

-Tu es sûr... que ça va ?
-Ouais, comme tu peux le constater, je me porte à merveille.

Kirishima exhiba sa cheville bandée sous le regard médusé de Yokozawa.

-Hé ! Ne fais pas de geste brusque ! Tu n’as pas de blessure grave, au moins ?
-Comme je te l’ai dit dans mon texto, ils m'ont fait passer une radiographie et ils n'ont pas vu de fracture, alors le médecin a déclaré que j’étais en parfaite santé. Aucun souci.

Kirishima n'avait rien de plus qu'une entorse et quelques égratignures provoquées par sa chute dans les escaliers.
Yokozawa prit le sac de Kirishima avant de retourner dans le séjour. Même si ses blessures étaient bénignes, il ne pouvait décemment pas laisser le type se débrouiller tout seul.

-Tu veux boire quelque chose ?
-Je t’avoue que je rêve d’une bière bien fraîche, mais il vaudrait mieux que je passe mon tour, ce soir.
-Il vaut mieux pour toi. Pas de boissons alcoolisées tant que tu ne seras pas guéri.

Il aida Kirishima à s’asseoir dans le sofa et lui apporta un verre de thé d'orge à la place de la bière.

-Merci.
-Tu as dîné ?
-J'ai mangé du katsudon dans un restaurant à côté du poste de police. J'aurais préféré me faire livrer sur place, mais l'ambiance n’était pas vraiment à la déconne là-bas.

De toute évidence, pendant que Yokozawa s’était rongé les sangs en attendant son retour à la maison, Kirishima, de son côté, s’était amusé de la situation. Il s’était peut-être cogné la tête, en fait.

-Tu sais, on dit que les symptômes d’un gros coup sur la tête n’apparaissent que bien après le jour de l'accident. T’es sûr que tu ne devrais pas faire un examen plus approfondi ?
-Je ne me suis pas cogné la tête, alors pas d'inquiétude. J'ai fait en sorte de bien me réceptionner. Qui aurait cru que tous ces trucs que j'ai appris étant gamin me serviraient un jour ?
-Tous ces trucs que tu as appris étant gamin ?
-J'ai pris des cours de judo dans un dojo près de chez moi quand j’étais jeune. Mais j'ai arrêté avant d’entrer au collège.
-Je vois...

Visiblement, sa clé de bras qui avait si bien cloué Yokozawa sur le lit de l’hôtel quelques mois auparavant était le fruit de ses cours de judo. Yokozawa avait réellement craint de se faire casser le bras ce jour-là.

-A vrai dire, ces cours m’ennuyaient à mourir à l'époque. Mais aujourd'hui, je suis bien content de les avoir suivis.
-Tu devrais remercier tes parents de t'avoir forcé à faire du judo.
-C’est pas faux. Si je n’avais pas su me réceptionner, je doute que je m’en serais sorti avec une simple entorse.

Yokozawa prit le temps de réfléchir à ce qu'il serait arrivé dans d'autres circonstances… Il en eut des sueurs froides. Si Kirishima s’était cogné la tête contre le béton... il ne serait pas retrouvé là, indemne, à parler tranquillement de son enfance avec Yokozawa.

-Oh, au fait, je peux te demander de ne pas raconter à Hiyo ce qu'il s'est passé aujourd'hui ? Je ne veux pas l'inquiéter.
-Je comprends. Mais si tu ne veux pas l'inquiéter, tu ferais mieux de réfléchir à une bonne excuse pour justifier tes blessures.

S’il pouvait facilement lui cacher l'entorse à la cheville en portant un pantalon, les éraflures sur son bras étaient beaucoup moins faciles à dissimuler.

-Ça va sûrement prendre un certain temps pour guérir, hein ? Tu penses qu'elle me croira si je lui dis que je suis tombé au bureau ?
-Ça a l’air un peu louche, si tu veux mon avis.
-Mouais...

Yokozawa s’assit sur le sofa à côté de Kirishima qui,  plongé dans ses pensées, cherchait une excuse qui justifierait toutes ses blessures. Ostensiblement, Yokozawa se racla la gorge. Ils ne pouvaient pas continuer à bavarder légèrement toute la soirée.

-Alors, tu t’es enfin décidé à m'expliquer pourquoi cette femme s'est jetée sur toi, hein ?

Les textos de Kirishima avaient brièvement décrit ce qu'il s’était véritablement passé entre cette femme et lui, mais Yokozawa ne connaissait pas encore les détails de cette affaire.

Il avait supposé que tous les appels téléphoniques et les messages que Kirishima avait reçus ces derniers temps avaient été envoyés par cette femme. En somme, Kirishima avait été la proie d'une maniaque.

-...Ouais... Je vais le faire, répondit Kirishima dans un long soupir.

Il semblait peu enthousiaste d’aborder enfin la question avec Yokozawa. Mais ce dernier n'avait pas l'intention de le laisser se dérober. Après un moment d’hésitation, Kirishima commença finalement par lui avouer d’une voix éteinte :
-... Je crois te l'avoir mentionné l'autre jour, mais la première fois que je l'ai rencontrée, c’était durant cette interview. Et que ce soit bien clair : je ne l'ai jamais contactée de mon propre chef.
-Alors elle t’avait pris pour cible depuis tout ce temps ?
-D’après elle, nous étions « destinés » à nous rencontrer.
-....

Ne sachant pas quoi répondre, Yokozawa préféra se taire. Chacun est parfaitement libre de croire ce qu’il veut, mais de là à imposer sa vision des choses aux autres, il y a tout un monde.

-J'ai commencé à comprendre ses intentions quand elle m'a invité à boire un verre après l'interview. Elle me l’a demandé après le départ de son rédacteur en chef alors j'ai refusé. Mais comme elle insistait, je lui ai dit que j'avais quelque chose de prévu ce soir-là et que nous pouvions remettre ça un autre jour.
-Et elle t'a cru ? Mais pourquoi tu lui as donné ton numéro de téléphone, alors ?
-Je n'avais pas le choix ! Si j’avais refusé, elle ne m'aurait pas laissé partir, alors j'ai cédé. En plus, on n’était pas seuls, puisque c’était un endroit public, alors je ne pouvais pas être grossier envers elle. Elle m’aurait fait toute une scène. Et puis, je ne savais pas encore qu'elle était totalement folle...
-C’est vrai...

Au premier abord, Kayama n'avait rien d'une folle. Elle paraissait équilibrée, habillée correctement et d'un comportement convenable. Même s’il l’avait trouvée un peu insistante après avoir été témoin de son échange avec Kirishima dans ce bar l'autre jour, il n'aurait jamais pensé qu'il puisse un jour la voir agresser un homme en pleine rue.

Peut-être que Kirishima avait refusé de présenter Yokozawa à Kayama ce soir-là justement parce qu’il commençait à avoir des soupçons à son sujet.

-J'ai supposé que je ne devais pas agir avant la parution officielle de l’article, mais c'est ça qui a causé ma perte. Je n'aurais jamais imaginé qu'elle oserait me suivre jusque chez moi...
-Alors tu penses que sa présence dans ce bar n’était pas un hasard ?
-Effectivement.

Ce soir-là, si Kirishima avait réagi bizarrement à l’arrivée de Kayama, c’était parce qu’il était déjà sur le qui-vive. Yokozawa en était certain : elle n’était pas venue dans ce bar pour rejoindre une amie.

-Et toutes ces lettres que tu as essayé de me cacher, elles venaient toutes d'elle, n'est-ce pas ?
-Ouais, mais elles étaient adressées à mon « épouse ». Pour les besoins de l'interview, j’ai précisé que j'avais une fille, mais je n’ai rien dit à propos de Sakura.

Sakura était la défunte épouse de Kirishima. Quand elle avait appris que Kirishima avait une petite fille, Kayama avait supposé qu'il avait aussi une femme.

-Mais pourquoi est-ce qu’elle voulait écrire à Sakura-san ? Qu'est-ce qu’elle disait dans ses lettres ?
-Des choses comme « votre mari vous trompe !» ou « vous ne le méritez pas, alors quittez-le ! », ce genre de trucs, quoi. Elle a même joint à l'une de ses lettres une photo d'elle en disant « je lui conviens mieux que vous ». Alors c’était pas bien dur de savoir qui en était l'auteur.
-Pourquoi est-ce qu’elle est allée jusque-là, bordel ?
-Elle pensait sans doute qu'elle pouvait nous forcer à nous séparer. Je ne voulais pas que toi ou Hiyo tombiez sur ce genre de conneries, mais si je les avais jetées, j'aurais perdu des preuves. Comme je ne pouvais pas les cacher dans la maison, je les ai gardées sur moi. Ce qui était au final une bonne idée, parce que j'ai pu les transmettre directement ce soir à la police.

Yokozawa avait le souffle coupé en entendant les détails de toute cette affaire qui semblait tout droit sortie d'une émission de faits divers de bas étage. Cette histoire de lettres dépassait toutes les hypothèses qu'il avait envisagées.

-Cette fille est un sacré cas...
-En plus, il s’avère que ce n'est pas la première fois qu'elle fait ce genre de choses. La police a dit qu'elle serait probablement condamnée cette fois.
-Condamnée ?!

Yokozawa écarquilla les yeux sous le choc de cette révélation. Même si ses actes pouvaient clairement être considérés comme un crime aux yeux de la loi, Kirishima n’avait subi que des blessures mineures lors de son agression. Yokozawa avait supposé qu'elle s'en sortirait avec rien de plus qu'une grosse amende.

-Elle a harcelé tous les hommes qui l’ont quittée et a même agressé leurs nouvelles petites amies. Elle nous a vus ensemble, mais je doute qu'elle ait soupçonné que je fréquente un homme.
-Personne ne le soupçonnerait...

Peu de gens suspecteraient qu'un homme de l'âge de Kirishima et père de famille de surcroît, sortait avec une personne du même sexe.

-Je n'ai pas saisi tous les détails, mais il semblerait qu’en amour, elle ait du mal à faire la différence entre ses fantasmes et la réalité. Quand ses parents ont appris ce qu’elle avait fait, ils se sont précipités au poste de police et ils n’ont pas arrêté de se confondre en excuses.
-Je vois...

Yokozawa se dit que même ceux qui faisaient du mal aux autres avaient une famille. Quand il essaya d’imaginer ce qu'avaient pu endurer les parents de Kayama, son cœur se serra. Combien de fois avaient-ils dû être plongés dans l’angoisse ?

-Au moins, je suis soulagé d’avoir été sa seule cible cette fois. J'ai des vertiges rien qu’en imaginant qu'elle ait pu jeter son dévolu sur Hiyori... Peut-être que je devrais commencer à lui donner quelques leçons à ce sujet…
-Ça serait plus rassurant de savoir qu'elle est capable de se défendre en cas de soucis.

Il avait des sueurs froides quand il imaginait ce que cette femme aurait pu faire à une petite fille dans son délire érotomaniaque. Si la victime n’avait pas été Kirishima, les choses auraient probablement été plus graves.

Il y aura toujours des gens, comme les jeunes délinquants de la dernière fois, qui s'en prennent aux plus faibles qu'eux. Même si Yokozawa était toujours sur ses gardes et que cette affaire était résolue, il frémissait à l'idée de ce qui aurait pu arriver à Hiyori si elle avait été seule.

En grandissant, elle sortirait plus souvent toute seule. Ils ne pouvaient quand même pas l'enfermer à double tour dans la maison simplement parce qu'ils étaient inquiets pour elle. Ils n'avaient donc pas d'autre choix que de lui apprendre à se défendre.

-Mais alors, pourquoi est-ce que tu as refusé de m’en parler, bordel ?!
-Ben, je n’étais pas sûr à cent pour cent d'une part : si j’avais eu tort, il n’y a que moi qui aurais stressé. Alors j'ai préféré ne rien te dire. Je ne voulais pas t'inquiéter pour une chose dont je n’étais pas moi-même tout à fait certain.
-Tu sais, que tu m’en parles ou pas, ça ne m’empêchera pas de m'inquiéter ! Tu penses vraiment que je ne suis pas capable d’encaisser ça ?

Pourquoi Kirishima lui disait-il qu'il ne voulait pas l'inquiéter ? Ça le dépassait totalement. Peut-être qu’on ne pouvait pas le blâmer d’avoir voulu protéger sa femme ou son enfant, mais Yokozawa était un homme et il n'avait nullement besoin de protection.

Il allait ouvrir la bouche pour se plaindre, quand Kirishima ajouta confusément d’une petite voix hésitante :
-Je... je ne voulais pas… que tu me trouves... pathétique.
-..........quoi ?
-Être incapable de faire face à une gonzesse... C'est vraiment trop la honte. C'est pourquoi j'avais prévu de tout te raconter après avoir définitivement réglé la situation.

Yokozawa resta bouche bée, choqué par cette révélation. Il savait bien que Kirishima était fier et arrogant, mais il avait vraiment besoin de se retenir parfois. Yokozawa ne pouvait décidément pas supporter de s’être autant inquiété et d’avoir été mis à l’écart pendant tout ce temps, tout ça à cause de la fierté de Kirishima !

-Tu ne serais pas le plus gros imbécile de toute la Terre ?! Jamais je ne pourrais penser que tu es pathétique, quels que soient tes actes ! lança Yokozawa dans un soupir.

Kirishima demeura comme figé pendant un long moment, avant de rétorquer bêtement :
-... Ça te dérangerait de le répéter ? Juste une fois ?
-Hein ?
-Je veux l’enregistrer sur mon téléphone, alors tu peux le répéter ?
-Espèce d'idiot ! rugit-il en réponse à Kirishima qui venait de sortir son téléphone portable. Non, je ne le répéterai pas !

Il n’était pas vraiment ravi que son honnêteté soudaine soit tournée comme ça en ridicule. Ce n’était pas le genre de choses qu'il pouvait dire facilement et il ne souhaitait certainement pas qu’on l’enregistre. Mais il avait déjà la certitude qu'il finirait bien par regretter ses propos.

Clairement en colère, il se leva et entra dans la cuisine dans l’intention de se servir une bière quand deux bras l’enlacèrent par derrière et le serrèrent fort.

-... !
-Je suis désolé. Je suis vraiment vraiment désolé…

La frustration qui pesait sur les épaules de Yokozawa disparut instantanément, comme exorcisée par la sincérité soudaine des excuses de Kirishima, prononcées sur un ton radicalement différent de la légèreté de sa remarque précédente.

Du coin de l’œil, il apercevait le bandage qui recouvrait le biceps de Kirishima. Alors ces mots s’échappèrent de ses lèvres :
-...Quand je t'ai vu tomber dans les escaliers... J'ai bien cru que mon cœur allait s’arrêter.
-Yokozawa.

A ce moment-là, son esprit s’était figé et il avait basculé dans un gouffre de colère et de désespoir. Comme si son monde entier avait volé en éclats. Il n’avait réussi à récupérer son sang-froid qu’après s’être assuré que Kirishima allait bien.

Il posa sa main sur celle de Kirishima qui l’enveloppait :
-Même si je ne peux pas te venir en aide, tu dois tout me dire ! Même si je suis certain que tu pourrais t’en sortir tout seul…

Il ne voulait plus revivre une telle chose. Peut-être qu'il ne pouvait pas lui être d'une grande aide, mais il pouvait toujours être là pour lui, être celui sur lequel il pouvait s'appuyer pour ne pas flancher.

Un jour, Kirishima lui avait dit que s'il avait des problèmes, il ferait entièrement confiance à Yokozawa. Mais Yokozawa avait été incapable de l'aider, car Kirishima l’avait finalement mis à l’écart.
Ils formaient un couple à présent : cela impliquait qu'ils devaient être ensemble pas seulement dans les bons moments, mais aussi dans les moments difficiles. N’était-ce pas cela, partager sa vie avec quelqu'un ?

-Je m’assurerai de tout te dire, la prochaine fois que j'aurai un problème.
-Bordel, t’as intérêt à ne pas oublier !

Le ton menaçant des paroles de Yokozawa était probablement dû à l’énervement qui avait subsisté. C’était pour ça d'ailleurs qu'il boudait encore un peu. Mais au fond, il souriait amèrement de son comportement enfantin.

-...Je te le promets.

Sur ces paroles, Kirishima resserra son étreinte.
Yokozawa ferma les yeux et soupira profondément. Il pouvait enfin relâcher la tension accumulée dans son corps.

À suivre...

26 commentaires:

  1. Awwwww trop chou *///*, cette dksjlfcr de fierté qu'à Kirishima ! Il faut qu'il apprenne à faire confiance à Yokozawa bon sang ! Enfin, heureusement que tout se fini bien hihi, merci encore pour ce nouveau chapitre ! Bisous à toute l'équipe :3

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je suis heureuse de voir que tout le monde soutient Yokozawa ici ! :D

      Supprimer
  2. Merciiiii INFINIMENT pour ce chapitre qui est sortie plus tôt que le dernier.... Nouveau Record ^_^

    "On étaient destiné..."---> Tu te prend pour qui, Kiyama!!!! 😠

    RépondreSupprimer
  3. Ce chapitre est juste magnifique (T__T)
    Un grand merci à toute l'équipe !

    RépondreSupprimer
  4. C'était vraiment une folle dingue cette nana ! Kirishima appartient à Yokozawa et puis c'est tout ! (Et inversement aussi ! U_U). Rhaa... Comment résister à un câlin de Kirishima, ils sont trop adorable !

    Merci pour la traduction ! Super travail comme d'habitude !

    Kissu ! <3

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Une folle dingue, c'est le moins qu'on puisse dire ! Pour info, cette maladie s'appelle "délire érotomaniaque". C'est une maladie assez grave, qui requiert parfois un internement en hôpital psychiatrique et dans ce roman, la description est assez conforme à ce qui peut se passer dans la réalité.

      Supprimer
  5. Super chapitre comme d'habitude, merci

    RépondreSupprimer
  6. Merci beaucoup pour ce chapitre. Vous êtes super!!!

    RépondreSupprimer
  7. Merci beaucoup pour le merveilleux travail que vous faites !
    Je ne me lasse pas de suivre les aventures de ce cher Yokozawa *-*
    Bon courage à vous et bonne continuation ! :D
    En passant : J'aime beaucoup le header de votre blog *ç* (les couleurs sont chaleureuses >.<).

    RépondreSupprimer
  8. Nyaww trop chou ! Ils sont vraiment trop mignon tous les deux *calin calin* et Yokozawa qui dit enfin ce qu'il a sur le coeur (un peu) c'est vraiment cute ! <3 J'avais raison pour Kayama, c'est vraiment une folle... tant mieux si elle se fait enfermer ! C'était aller encore plus loin que je le pensais, ça a dut être dur pour Kirishima de recevoir ses lettres adressée à Sakura... Mais il est beaucoup trop fier ! Il aurait du tout dire à Yokozawa bien plus tôt ca aurait été plus facile à encaisser >.< *mais c'est aussi parce qu'il est comme ça qu'on l'aime cet idiot xD*

    Quoi qu'il en soit, merci pour la trad comme toujours !! <3

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Kirishima est bien passé pour un idiot dans cette histoire ! Quand on est en couple, il faut toujours partager les moments durs, comme les moments joyeux !

      Supprimer
  9. Merci énormément de votre travail, d'une grande qualité ! Super chapitre ! ^^
    chez moi c'est la rentrée et rien que d'attendre ces chapitres me donne le courage de bien travailler pour qu'on ne me confisque pas mon ordi XD

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Alors bonne rentrée ! Nous on s'occupe du remontant :)

      Supprimer
  10. Merci beaucoup pour ce chapitre *Q* C'est sorti tellement vite, que j'avais pas pris la peine de regarder XD
    Bref, ils sont trooooooop mignons!

    RépondreSupprimer
  11. merci pour ce nouveau chapitre

    RépondreSupprimer
  12. Quelle rapidité !!! ^_^
    Merci encore pour tous ces chapitres qui s'enchainent.
    Il semblerai enfin que les bases du couple se renforcent. Il a fallu une folle pour rendre Kirishima plus sérieux et Yokozawa plus franc (un vrai tsudere) lol. J'adore vraiment ce couple.
    Vivement la suite avec j'espère encore plus de romance.

    RépondreSupprimer
  13. Olala je suis partie en vacances et je n'avais pas d'accès à internet. Je n'arrêtais pas de penser à ces chapitres ! Je suis heureuse d'avoir enfin pu les lire !! Merci beaucoup encore une fois de votre travail parfait et rapide. ♡
    Juste une petite question. Quand vous dites dans la description "la fin", c'est une fin définitive ? Ou il y aura un yokozawa no baai 4 ? D:

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. non c'est juste la fin tu tome 3 car il y a le tome 5 qui est sortie au japon il n'y a pas longtemps ( heureusement sinon j'aurais pleurais toute les larmes de mon corps ^^ )
      ps : merci a la team pour cette magnifique traduction ^^ l

      Supprimer
    2. Ahhhhh ouf :'D Je suis contente alors. *^*

      Supprimer
  14. saleté de fierté de Kirshima surtout pour CA il ne sait même pas rendu compte a quel point il faisait du mal a yokozawa BAKA. Merci pour ce super boulot a la team et vivement la suite

    RépondreSupprimer
  15. merci pour tout ce travail :)
    ah... n'empeche, cette fille est vraiment flippante !!
    *w* ce couple est génial ! Mais Kirishima a interet a vraiment faire confiance a Yokozawa a partir maintenant !! Vraiment !

    RépondreSupprimer
  16. jdskzdfkqkf !!! *µ* Mon Dieu cette petite scène trop chou de la fin ! Je fonds ! En plus c'est rare : Yokozawa est pas trop calin. J'aidooooooore !!!! Merci pour ce chapitre ♥

    RépondreSupprimer
  17. ahhhhh!!!! Merci pour ce chapitre!!!!

    RépondreSupprimer

Alors ... ça vous a plu ?