lundi 10 mars 2014

SIH - Yokozawa no Baai 3 - Chap 3

Titre: Yokozawa Takafumi no Baai vol.3
Série: Sekai-ichi Hatsukoi
Auteurs: Nakamura Shungiku et Fujisaki Miyako
Rating: Tout Public

Langage: Français
Résumé: J-7 avant la sortie du film !      >.< Que d'impatience !!  










   Ces deux derniers jours, Yokozawa et ses collègues avaient travaillé plus dur que jamais.
Bien sûr, ils avaient l'habitude de s’investir sérieusement dans leur travail, mais c’était la première fois qu’ils travaillaient dans une ambiance aussi tendue.

Cependant, à force de travail acharné, ils étaient à présent enfin près de surmonter le problème. Yokozawa allait même jusqu'à penser qu'ils étaient sortis d'affaire. Après vérification par leurs supérieurs, il ne leur restait plus qu’à assurer le bon déroulement des dernières opérations.

Demain, Yokozawa devrait encore se démener pour passer tous ses coups de fil, mais convaincu que tous les problèmes qui pesaient sur le service étaient derrière eux, il se sentait plus léger. Il est vrai qu’ils avaient été en mesure de trouver une solution à toute cette histoire surtout grâce à la coopération d'un grand nombre de personnes. C’est pourquoi Yokozawa s’assurerait de les remercier comme il se devait en redoublant d'efforts dans son travail personnel.

Quoiqu’il subsistât quelques petits tracas qui nécessitaient encore son attention, Yokozawa contrôlait à présent parfaitement la situation. Même si un certain ressentiment demeurait dans le service quant au petit cadeau de départ que leur avait laissé ce fameux employé, Yokozawa était soulagé que ce type ne fasse plus partie des leurs. Si son éthique de travail douteuse n'avait pas été relevée, ça aurait pu être nettement pire.

Le bon côté de l’expérience, pensait Yokozawa, c’était qu'en mettant leurs forces en commun pour résoudre ce problème, les employés du département des ventes avaient renforcé leur esprit de camaraderie. Pour sûr, chacun d'eux possédait son propre talent, mais Yokozawa était heureux d’avoir pu constater de lui-même qu’un tel travail en équipe augmentait considérablement le potentiel du groupe.

Il souhaitait pourtant que cette expérience ne se répète jamais et pour ce faire, de nouvelles règles, plus strictes, avaient été instaurées : chaque personne engagée dans un projet avait l'obligation de faire un rapport sur son avancement. Il était facile de comprendre qu'une trop grosse charge de travail pouvait entraîner de sérieuses erreurs, aussi personne ne s’était opposé à ces nouvelles directives.

-Nous faisons la promotion d'un tout nouveau produit ! Je vous en prie, essayez cet échantillon gratuit !

Alors qu'emporté par la foule, il sortait de la gare, une jeune femme mit quelque chose dans la main de Yokozawa.

-Pourquoi me donner quelque chose comme ça, à moi…?

C’était une sorte de serviette rafraîchissante, dans un petit paquet rose, au parfum pêche-menthe. Ce produit était clairement destiné à un public féminin. Yokozawa décida de le garder sur lui pour le donner à Hiyori plus tard. Il glissa donc l'échantillon dans sa poche et se fraya un chemin à travers la foule.

Alors que le soleil se couchait, la chaleur semblait enfin diminuer, mais la brise qui serpentait autour de son corps était encore un peu chaude. Yokozawa soupira, en se lamentant sur sa nuit étouffante qui serait sûrement plus fraîche s’il pouvait prendre une douche ou deux en rentrant.

Il emprunta un chemin qu'il ne connaissait que trop bien pour se diriger vers la librairie Marimo – mais il n’y allait pas pour le travail. Aujourd’hui, il était à la recherche d’un bon livre de cuisine qui l'aiderait à préparer le repas d'anniversaire de Hiyori.

Il s'était dit qu’il pourrait avoir accès à un large éventail de livres de cuisine là-bas. Mais finalement, ce n’était peut-être pas une si bonne idée que ça de débarquer dans une librairie pleine à craquer de gens qui étaient susceptibles de le reconnaître. Quelle excuse pourrait-il bien donner si quelqu’un le surprenait au rayon « Cuisine » ?

Alors qu'il envisageait de rebrousser chemin pour se rendre dans une autre librairie, Yokozawa réalisa tout à coup au seuil du magasin :
-Peut-être que je me monte la tête sans raison...

Ce n’était pas parce qu'il connaissait certains employés de la librairie que quelqu’un allait forcément le reconnaître. De plus, la librairie Marimo était si grande qu’il y avait sans doute plus de gens qu’il ne connaissait pas que le contraire.
Alors que Yokozawa s’était enfin décidé à entrer dans la boutique, son téléphone se mit à vibrer dans sa poche. C’était un appel de Kirishima : il l’avait en effet prévenu ce matin qu’il quitterait le bureau pour une réunion.
-Oui, Yokozawa à l’appareil.
-C’est moi. Je ne te dérange pas ?
-Non, qu’est-ce qu’il y a ?

Lorsque Kirishima voulait demander une faveur, il avait tendance à opter pour un appel plutôt qu’un texto. Yokozawa se déplaça pour ne pas bloquer le passage aux autres clients qui entraient et sortaient du magasin et focalisa toute son attention sur sa conversation avec Kirishima.

-On dirait que ma réunion de travail va durer un peu plus longtemps que prévu, alors je ne pense pas être revenu à temps pour le dîner. Désolé de te demander ça, mais est-ce que tu pourrais dîner avec Hiyo?

-Tu ne devais pas rentrer directement après ta réunion avec les auteurs ? Il est arrivé quelque chose ?

Si ses souvenirs étaient bons, Kirishima devait rencontrer Ijuuin-sensei aujourd’hui. Peut-être que les choses ne s’étaient pas passées comme prévu.

-Oh… non, ce n’est pas ça. C’est juste que… j’ai un truc à régler après la réunion et ça va me prendre plus de temps que prévu. Je vais m’assurer d'acheter un petit quelque chose à Hiyo pour me faire pardonner.

-Très bien… alors, appelle-moi quand tu arriveras à la station. On ne t’attendra pas pour manger.

-Vraiment désolé… A plus tard !

Visiblement soulagé par la réponse de Yokozawa, Kirishima raccrocha abruptement. Chez Japun, il y avait toujours des projets en cours concernant les adaptations en anime et en drama des mangas publiés dans le magazine, alors il n’était pas rare que Kirishima soit encore immobilisé par son travail à des heures aussi tardives. Quand un éditeur grimpe les échelons et parvient au grade de rédacteur en chef, il ne court plus après des manuscrits, mais passe plus de temps à gérer et à préparer les réunions. Être le représentant du département d’édition n’est pas de tout repos, en vérité.

Mais Kirishima était capable d'accomplir l'intégralité de son travail, tout en dirigeant ses subordonnés et ce, sans pour autant négliger son rôle de père. Est-ce qu'il lui arrivait parfois de s’arrêter un peu pour souffler ?

Tout en envoyant un message à Hiyori pour la prévenir de son arrivée, Yokozawa entra dans la librairie et se dirigea par habitude vers les escalators.
« Pardon, excusez-moi. Désolé… ». Il murmurait des excuses à tous ceux qui étaient derrière lui quand il dut les bousculer pour revenir sur ses pas. Dominant son embarras, il consulta le plan du magasin puis reprit l’escalator pour se rendre au deuxième étage, où se trouvaient les livres de cuisine.

-Donc, je suppose que j’y suis…

Comme il l’avait présagé, la librairie Marimo offrait un grand choix de livres sur le sujet : des ouvrages au vocabulaire complexe pour des cuisiniers expérimentés, à ceux qui avaient peu de texte et beaucoup d’images destinés aux débutants. Impossible pour Yokozawa de savoir où commencer.
Il balaya du regard les étagères en survolant les titres, jusqu’à ce qu'une revue destinée aux femmes au foyer attire son attention. Datée du mois dernier, elle vantait sur sa couverture sa collection de recettes pour des fêtes d’enfants.

Il feuilleta le magazine pour brièvement visualiser le contenu. Il fut soulagé quand il vit que les recettes ne paraissaient pas si compliquées que ça. Puisqu’elle proposait une grande diversité de recettes et avait de jolies photographies, Yokozawa décida d’acheter la revue. Il se dit qu’il serait peut-être plus sage de s'exercer chez lui au préalable, hors de vue de Hiyori, afin d'éviter une catastrophe le jour J, jour particulièrement important pour la petite fille.
Il retourna au premier étage, puis alla régler son article à la caisse la plus éloignée pour éviter d’être reconnu par qui que ce soit. Au moment où il allait partir, soulagé de ne pas avoir été reconnu, une voix familière l’interpella :

-Hein ? Yokozawa-san ?

-Oh salut…Yukina.

Parce que Yokozawa avait baissé sa garde, sa voix avait été un peu suspecte, mais son interlocuteur, qui ne semblait pas avoir remarqué, le salua avec enthousiasme :

-Vous auriez dû me prévenir que vous étiez là !
-Je suis seulement venu pour affaires personnelles. Je ne suis qu’un client comme les autres, aujourd’hui. Et puis surtout, je ne voulais déranger personne.

Ce n’était qu’une excuse. Mais il ne pouvait pas non plus lui avouer qu’il avait savamment évité le rayon mangas pour ne pas être remarqué.

En dehors de ses études universitaires, Yukina était chargé de la section des mangas shojo, faisant ainsi très bon usage de sa connaissance considérable du genre. Tout le monde dans le département des ventes connaissait l’incroyable capacité qu’avait Yukina à faire exploser les ventes des titres qu’il conseillait aux clients. De plus, il avait un don prodigieux pour concocter des présentoirs promotionnels avec un enthousiasme débordant. Même si personne ne voulait interférer dans ses projets d’avenir, tout le monde chez Marimo espérait fortement qu’un jour il devienne employé à plein temps.

-Tu as fini de travailler ?

-Oui, j’étais dans l’équipe du matin, aujourd'hui. Si vous partez maintenant, est-ce que ça vous dérange que je vous accompagne jusqu’à la station, Yokozawa-san?

-Tu es sûr que tu ne préfères pas y aller avec une de ces filles qui te dévorent des yeux là-bas ?

Son visage semblait tout droit sorti d’un manga shojo, alors il avait une foule d’admiratrices dévouées. C’est pourquoi de jeunes étudiantes avaient l'habitude de traîner devant la librairie, et qu’il recevait une tonne de chocolats à la Saint-Valentin.

-Eh bien, je ne suis plus de service alors je ne voudrais pas leur donner de faux espoirs, lui répondit Yukina avec un sourire chaleureux.

Non seulement le jeune homme n’était pas moche, mais il avait aussi une personnalité irréprochable. Très aimable envers ses collègues, il était d'une efficacité sans failles dans le cadre de son travail. Tout en ayant conscience de sa popularité, il n'avait pourtant pas la grosse tête, ce qui était probablement le fruit d'une bonne éducation. Yokozawa ne pouvait même pas imaginer qui pouvait détester quelqu’un comme Yukina.

-… Bon alors, on y va ?

Désireux de semer les lycéennes qui les suivaient, ils se hâtèrent de traverser la rue juste avant que le signal du passage piéton ne passe au rouge. Ils se faufilèrent dans la foule pour finalement prendre le chemin de la station de métro.

-Quand même, il fait bien chaud aujourd’hui ! Je suis resté à l’intérieur de la librairie toute la journée, mais je suis convaincu que ça devait être pire pour vous et vos collègues.

-On peut dire ça. J’admets qu’il est assez difficile de faire la tournée des librairies par une telle chaleur. La différence de température entre l’intérieur climatisé et l’extérieur assommerait n'importe qui. Mais pour être honnête, je crois qu'un travail de bureau ne me conviendrait pas.

Il était vraiment difficile de stabiliser sa température corporelle en passant sans cesse de la chaleur étouffante de la rue à la fraîcheur artificielle des climatiseurs des librairies.
-Ah, vous marquez un point. On se sent au paradis lorsqu’on entre dans le métro bien climatisé, mais si on y reste trop longtemps, on commence à frissonner et ça devient un tout nouveau problème. Malgré tout, quand on sort, on a l’impression de replonger en enfer.

-Ça ne m’a jamais vraiment dérangé. J’imagine que ça doit être une question d'âge.

-Une question d'âge ? De quoi parlez-vous ? Une minute… Yokozawa-san, quel âge avez-vous, déjà ?

-28 ans.

-Hein !?
L’expression de Yukina se figea comme s’il venait de voir un fantôme. Yokozawa comprenait sa réaction, mais ce n’était peut-être pas nécessaire d'en faire autant.

-… Quel est le problème ?

-Ah… rien, c’est juste que… vous vous souvenez de cet éditeur que vous m’avez présenté il n’y a pas si longtemps ? J’étais juste un peu surpris d’apprendre qu’en fait vous êtes plus jeune que lui…

-Hein ? Qu’est-ce qui te prend de me comparer à lui ?!

Yokozawa savait très bien qu’il paraissait plus vieux que son âge, mais il ne voulait pas non plus qu’on le compare à celui qui avait le visage le plus poupin de toute la compagnie. On pouvait se demander comment ce type était capable d’avoir l’air si jeune et si frais… Ce visage faisait de lui l’une des sept énigmes de Marukawa Shoten.

Pensant qu’il avait offensé Yokozawa, Yukina changea rapidement de sujet :

-O-Oh… au fait ! Chez Marukawa, vous avez aussi des vacances d’été, n'est-ce pas ? J’imagine que ça doit être durant l’O-Bon ou dans ces eaux-là ?

-Non… nous n’avons pas de périodes de vacances vraiment définies. Chacun peut poser des congés un peu quand il veut.

-Waouh… c’est quand même bien ! Si vous choisissez une période creuse, où que vous alliez en voyage, il n’y aura pas de foule !

-C’est justement pour cette raison que mes supérieurs sont partis en vacances à l’étranger cette semaine. Oh… attends, en fait, je crois qu’ils sont rentrés aujourd’hui.

-Ça doit génial de partir en voyage à l’étranger.

Il était vrai que prendre des congés en dehors de la pleine saison serait agréable, mais il lui était décidément impossible de se ménager assez de temps pour partir en vacances. C’était pour cette raison que Yokozawa n'avait pas pu prendre de vraies vacances l'an dernier non plus. Quand il avait annoncé à Kirishima que ce serait probablement la même chose cette année, il avait pété un câble.

-Oui, mais seulement si tu arrives à trouver le temps.

-Vous ne venez pas de me dire que vous pouviez partir en vacances quand vous le voulez ?

-Oui, mais… si tu prends en considération la quantité de travail que t’as à faire, t’as plus de mal.

Il s'interrompit lorsqu’ils entrèrent dans la station. L’air frais qui provenait d’un grand magasin proche glissa sur sa peau et les rafraîchit un peu.

À chaque fois que Yokozawa songeait à prendre des vacances, il pensait à la montagne de travail qui l’attendrait à son retour. Il souhaitait tellement être enfin capable de quitter à sa guise son « mode travail », mais c’était plus facile à dire qu’à faire.

-Vous êtes si assidu dans votre travail, Yokozawa-san. Vous devriez arrêter de vous inquiéter et essayer de vous détendre un peu, au moins lorsque vous êtes en congé.

-Ben si tu connais un bon moyen pour ça… vas-y, je t’écoute.

-Haha, vous marquez encore un point.

Ils descendirent les escaliers lorsque Yukina laissa s’échapper un petit cri de surprise et de confusion.

-Hé… ce ne serait pas Kirishima-san juste là-bas ?
-Hein ?

Quand il se tourna dans la direction que désignait Yukina, Yokozawa discerna effectivement le visage de Kirishima. Il se tenait devant le plan d'un grand magasin aux côtés d’une magnifique jeune femme aux longs cheveux attachés en chignon et portant un tailleur-pantalon.
Il ne voyait pas le visage de Kirishima de sa position, mais la femme affichait un sourire chaleureux et amical. Ils échangèrent quelques mots avant de disparaître dans le niveau souterrain du centre commercial de la gare.

-Vous n’êtes pas allé le saluer ? demanda curieusement Yukina à Yokozawa, qui était complètement figé sur place.

-Il ne vaut mieux pas le déranger pendant son travail.

-Il travaille, là ? Cette femme semblait vraiment heureuse de lui parler… j’ai cru que c’était sa petite amie.

-Hein ? Comment t’as pu penser une telle chose ? répliqua Yokozawa sans réfléchir, l’air irrité.

Yukina n’avait probablement rien voulu suggérer de particulier. C’était sans doute normal pour lui de penser cela. Ce n’était pas comme s’il était au courant de sa relation avec Kirishima. Même s’il le comprenait bien, Yokozawa n’arrivait pas à calmer son cœur qui tambourinait dans sa poitrine.

Yukina, qui n’avait pas remarqué le trouble de Yokozawa, continua sur sa lancée :
-Je n’ai rencontré Kirishima-san qu’à la dernière séance de dédicaces, mais il était tellement cool… J’espère lui ressembler plus tard.

-……..

Kirishima lui avait dit qu'il travaillait toute la soirée, alors Yokozawa ne doutait pas une seule seconde de son honnêteté. S’il se sentait aussi mal, c’était simplement parce qu’il était jaloux.
Comme Yukina l'avait dit: Kirishima et cette femme avaient l'air d’aller si bien ensemble.

Yokozawa était toujours très attentif aux regards que portaient sur eux les gens alentours lorsqu'ils étaient ensemble. Mais il doutait vraiment que quiconque imagine qu'ils soient en fait amants. Même s’il était certain que personne ne portait de soupçon sur leur relation… à cet instant, il était profondément jaloux de cette fille, juste parce qu’on pouvait la prendre pour la petite amie de Kirishima.

-……Yokozawa-san ?

-Désolé, je ne me sens pas très bien, sans doute à cause de la chaleur...

-Ça va ? C'est probablement une insolation.

Yokozawa culpabilisait un peu d'inquiéter ainsi Yukina.

-Ouais sûrement… Je pense que je vais aller m'acheter quelque chose à boire avant de me mettre en route.

-Vous voulez que je m’en charge ?

Yokozawa voulut montrer qu'il allait mieux avant que Yukina ne lui propose de rester avec lui :

-Je vais bien. Je vais juste prendre quelque chose à boire dans un distributeur sur le quai. Ton train est dans cette direction, non ? Moi je vais de l’autre côté.

Même s’il semblait encore inquiet, Yukina n'insista pas davantage.

-Bon ben… prenez le temps de bien vous reposer. Prenez soin de vous, Yokozawa-san ! s’exclama-t-il en s’éloignant.

-Merci, fais attention à toi sur le chemin.

-Merci. Au revoir.

Après tout, la gorge de Yokozawa était effectivement sèche, alors, après avoir validé son ticket de transport, au lieu d’aller attendre son train, il se dirigea vers un distributeur de boissons. Il fit passer sa carte à puce sur le capteur et sélectionna une bouteille d’eau minérale dont il avala le contenu d'une traite.
Même s'il était parvenu à se rafraîchir un peu, il n’arrivait pas à se défaire de ce sentiment de malaise qui s’était niché dans sa poitrine.

À suivre…

17 commentaires:

  1. La jalousie de Yokozawa est délectable ^^

    RépondreSupprimer
  2. J'adore, encore une fois *-*
    Je sais pas pourquoi, mais quand Kirishima lui disait qu'autre chose le faisait finir plus tard, je sentais bien ce genre d'histoire x) Yokozawa va croire qu'il le trompe avec cette femme (surement une auteure) xD Aaaah~~La jalousie, c'est trop mignon ! <3
    Merci de votre travail, et bon courage pour la suite !

    RépondreSupprimer
  3. Qui te dis que Yokozawa se fait des films ? ;)
    Quelques choses me dit que d'autres indices vont nous aider à y voir clair, très prochainement ^^

    RépondreSupprimer
  4. kyaaaaaaaaaaaaah !!!!! Je veux voir la confrontation kirixyoko !!!

    RépondreSupprimer
  5. Oh que c est mignon yokozawa est jaloux . merci beaucoup pour ce chapitre vivement la suite pour voir la réaction de kirishima et surtout son explication

    RépondreSupprimer
  6. kyaaaaaaaa c'est tros !!!!!!!! oh my god !!!!!!!! que des tensions !!!!
    mon yokozawa chou va encore jalousé !!!!!!! j'ai hâte de voir la suite!!! merci beaucoup pour votre magnifique traduction !!!!! et bonne continuation a vous :D

    RépondreSupprimer
  7. Bonjour combien reste il de chapitre avant la fin du tome svp?

    RépondreSupprimer
  8. Merci pour cette suite. Qu'il est jaloux ce yokozawa !! Dites, dites comment ça se passe quand ils se revoient tous les deux ? J'ai trop envie de savoir la suite!!

    Merci pour votre travail

    RépondreSupprimer
  9. merci beaucoup pour ce chapitre >w< !! j'ai hate de lire la suite !! ^^

    RépondreSupprimer
  10. J'ai trouvé votre site hier midi et j'ai déjà englouti les deux premiers volumes et les 3 chapitres du vol 3. Maintenant je vais devoir apprendre à patienter pour avoir la suite dur dur!! Vraiment merci pour votre travail c'est super continuer!!!

    RépondreSupprimer
  11. Pour tout ceux qui aime cette série merci de signer cette pétition on sait jamais http://www.avaaz.org/fr/petition/Aux_maisons_dedition_francaise_de_mangas_La_licence_francaise_de_la_serie_Sekaiichi_Hatsukoi_de_Nakamura_Shungiku/?copy

    RépondreSupprimer
  12. super boulot !!!! j'attends la suite avec impatience ;D

    RépondreSupprimer
  13. C'est quand la suiiiiiiiite? *w*

    RépondreSupprimer
  14. fufufu...Ca lui fait pas d'mal, un peu de Jalousie !!!
    Il va bien finir par comprendre que Kirishima est l'homme de sa Vie...

    RépondreSupprimer
  15. mais mais qui est cette fille ????
    Kiri c'est pas bien de rendre jaloux Yoko comme ça >_<

    RépondreSupprimer
  16. oohh Yokozawa est bien bien jaloux dis donc (j'adore ça sent le conflit et les pics à volonté)

    RépondreSupprimer
  17. Ok c'est qui celle là ?! Si elle fait souffrir Yokozawa d'une manière où d'une autre ça va être sa fête !!! Nan mais oh ! Et pis Kirishima tu fous quoi ?! Pense à Hiyo ! Elle a besoin de maman Yokozawa !!! Bon je vais lire la suite, ça me stresse trop cette histoire. La trad est toujours de qualité. Merci ♥

    RépondreSupprimer

Alors ... ça vous a plu ?