Titre: Yokozawa Takafumi no BaaiSérie: Sekai-ichi Hatsukoi
Auteurs: Nakamura Shungiku et Fujisaki Miyako
Rating: Tout public
Langage: Français
Résumé: Yokozawa emmène en urgence Sorata à la clinique vétérinaire.
-« A demain ! »… hop, envoyé !
Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent sur le palier de son appartement quand Yokozawa répondit au texto qu'un de ses collègues de travail lui avait envoyé.
C’était dimanche et il avait aidé ses collègues lors d'un événement durant lequel un groupe d'idols avait rencontré leurs fans à l'occasion de la publication d’un nouveau recueil de photos. Bien entendu, on avait demandé à Yokozawa de s'y rendre en renfort d’abord parce qu’ils manquaient de personnel mais surtout parce que son allure imposante pouvait dissuader les fans trop zélés de s'approcher des jeunes chanteuses.
Faire le pied de grue toute la journée ne l’avait pas vraiment fatigué, mais il s’était épuisé les nerfs à maintenir une attention constante.
Ses collègues étaient plus que ravis d’avoir l’opportunité de voir ces célébrités d’aussi près, contrairement à Yokozawa, que la vue de ces jeunes filles, qui devaient avoir une bonne décennie de moins que lui, laissait parfaitement indifférent.
-... Peut-être que je suis vraiment gay, après tout.
En se marmonnant cette remarque, il fouilla à l’intérieur de son sac et en sortit la clé de son appartement.
Il était orienté au nord ; aussi la brise qui balayait sans cesse l’entrée lui faisait-elle toujours un peu frissonner. Le mois de mars était arrivé à son terme mais le printemps tardait à se faire sentir cette année.
Par ce temps, il aimait dormir lové contre Sorata. Son chat était en général plutôt indépendant mais même lui aimait parfois se blottir au chaud contre son maître.
-Je suis rentré.
Fermant la porte derrière lui, il retira ses chaussures en cuir. C’était le calme plat à la maison ce soir-là. Sorata qui s'empressait toujours de venir le saluer à son arrivée ne semblait pas être dans les parages.
Yokozawa alluma les lumières, se dirigea vers le salon et finit par trouver Sorata recroquevillé dans un coin du divan.
-... Sorata ?
Quand il l’appela, il leva la tête et regarda Yokozawa, mais aussitôt il se blottit à nouveau sur lui-même.
D’habitude, il venait se frotter contre ses jambes en ronronnant, dans l'espoir de se faire câliner, mais aujourd'hui il semblait se contenter d'un regard, sans même prendre la peine de bouger.
Peut-être avait-il sommeil simplement parce qu'il avait trop mangé. Yokozawa se dit soudain qu'il en profiterait pour remplir son bol d'eau. Il alluma la lumière de la cuisine.
-Mais tu n'as rien mangé aujourd'hui, Sorata !
Il n'avait pratiquement pas touché aux croquettes qu’il lui avait laissées ce matin même. Étant donné que Sorata était plutôt un sacré glouton, Yokozawa avait craint de devoir le mettre au régime. Dès lors, qu’il ne touche même pas à son bol, c'était plutôt rare.
En revenant dans le salon, il réalisa que Sorata semblait un peu apathique.
-Sorata ? Hé, qu'est-ce qui ne va pas ? Tu ne te sens pas bien ?
Même s’il savait très bien qu'il n'allait pas lui répondre, Yokozawa ne put s’empêcher de lui poser la question. C’était la première fois qu'il voyait Sorata si mou et avec si peu d’appétit.
Il se souvint alors d'une conversation qu’il avait eue un jour avec un autre propriétaire de chat dans la salle d'attente du vétérinaire quand il avait emmené Sorata faire un bilan de santé. Il lui avait raconté qu'il avait retrouvé un soir un de ses chats dans le même état de léthargie et le lendemain, alors qu'il avait décidé d'attendre que son état s'améliore, le pauvre type avait retrouvé l'animal mort. Depuis lors, Yokozawa faisait en sorte d'emmener son chat chez le vétérinaire au moindre signe de faiblesse. Par ailleurs, en consultant le net, il était tombé de nombreuses fois sur des récits similaires. Et si Sorata était vraiment malade ?
Peut-être qu’il s’inquiétait pour rien mais il devait en avoir le cœur net.
-Je… Je… dois l’emmener chez le vétérinaire immédiatement…
Après avoir déposé Sorata dans sa cage de transport, il fouilla dans un tiroir pour mettre la main sur la carte de visite du vétérinaire. C’était le week-end, donc il était probable que la clinique soit fermée, mais s’il devait attendre jusqu'au matin, il serait peut-être trop tard.
Refusant d’abandonner tout espoir, il réussit finalement à dénicher la carte de visite et composa rapidement le numéro du vétérinaire. Même s’il était dimanche soir, il accepta volontiers de les recevoir.
Dans le taxi, une fois en route pour la clinique, Yokozawa ne parvenait pas à maîtriser son agitation. Et si Sorata avait quelque chose de sérieux, quelque chose qui pourrait lui être fatal…? L’inquiétude le taraudait. Même quand il essayait d’être optimiste, seuls les pires scénarios lui venaient à l'esprit.
Certains diraient qu’il était ridicule de se mettre dans un tel état pour un animal de compagnie. Mais pour Yokozawa, Sorata était comme un membre de sa famille. Contrairement aux humains, les animaux ne peuvent pas parler, alors ils ne peuvent transmettre leurs sentiments que par des actes. Même si quelquefois c’était frustrant de ne pas pouvoir communiquer clairement, ils parvenaient toujours à se comprendre.
Il était donc assis là, dans la salle d’attente de la clinique vétérinaire, à guetter la fin de l’examen avec appréhension, en essayant d'écarter ses idées noires, lorsque tout à coup, Hiyori fit irruption.
-Oniichan !
-Hiyo… !
Kirishima était sur ses talons.
-Tout va bien, Yokozawa ?
Sur le chemin de la clinique, il avait pensé appeler Takano, mais il y avait renoncé. Il ne voulait pas de sa pitié, surtout à un moment pareil. Plus seul que jamais, il avait quand même fini par téléphoner à Kirishima sur un coup de tête.
Le voir arriver l’emplit d’un incommensurable soulagement, mais en même temps, il fut gagné par les remords. Même rongé par l'inquiétude, il n’aurait pas dû appeler Kirishima. Même si Sorata était infiniment précieux aux yeux de Yokozawa, Kirishima trouverait certainement son comportement exagéré parfaitement ridicule !
-Je suis désolé… tu as fait tout ce chemin jusqu'ici pour un simple animal de compagnie…
-Ne dis pas ça ! Ce chat est comme un membre de ta famille, voyons !
La phrase de Kirishima reflétait sa triste réalité et il sentit ses yeux au bord des larmes.
-Oui, c’est vrai…
Il baissa la tête et serra les dents, résolu à ne pas craquer devant eux.
Hiyori s'approcha de lui et glissa sa main dans la sienne.
-Je suis là maintenant ! Tout ira bien pour Sora-chan, tu verras !
-Oui, tu as raison. Merci, Hiyo !
Qu’est-ce que c’était pathétique d’être réconforté par un enfant, à son âge ! Mais la chaleur de la petite main d’Hiyori réchauffa son cœur. A l’instant où il lui rendait son sourire, la porte de la salle d'examen s'ouvrit.
-Yokozawa-san, je vous prie de bien vouloir me suivre.
-Oui.
Quand le vétérinaire aux tempes grisonnantes l’interpella, Yokozawa se leva d’un bond. Il tapota la tête d’Hiyori comme pour la remercier de son soutien et pénétra dans la salle d’examen.
Sorata était sagement assis sur une petite table à mi-hauteur et semblait se porter comme un charme, parfaitement nonchalant. On aurait dit que son apathie de tout à l’heure n’était plus qu’un mauvais souvenir.
-Alors, comment se porte-t-il, docteur ?
En voyant la mine inquiète de Yokozawa, le vétérinaire détailla les résultats de son examen avec un sourire rassurant.
-Vous n’avez pas à vous inquiéter. Je lui ai fait un examen complet et je n'ai rien trouvé d’anormal.
-Vraiment ?
-Rien du tout. Tout du moins, il ne semble pas qu’il ait des problèmes de digestion. Il devait manquer d’un peu d’énergie, voilà tout.
-Alors, il n'y a rien de grave ?
-Comme vous pouvez le constater, il se porte à merveille maintenant, il n'est absolument pas malade. Mais Sorata-kun ne rajeunit pas : il ne devrait pas avoir de problème si vous gardez un œil sur lui à l’avenir.
Sorata semblait être ravi d’être dans les bras du vétérinaire. Peut-être que le médecin avait raison et qu'il s’était simplement senti soudain fatigué.
Cela voulait dire que… Yokozawa s’était inquiété pour rien.
Il était incroyablement soulagé, mais en même temps, il avait honte. Sorata n'avait rien de grave et pourtant il avait forcé le vétérinaire à se lever à cette heure tardive et avait même dérangé Kirishima. Il y avait des limites à ne pas dépasser !
Luttant contre le sentiment de gêne qui l’envahissait, il baissa la tête, penaud :
-Merci infiniment, docteur !
-Je vous en prie. Je suis ravi que ce ne soit rien de grave. Peut-être se sentait-il un peu seul ? En tout cas, Sorata-kun a de la chance d'avoir un maître aussi soucieux de sa santé.
Yokozawa prit Sorata dans ses bras et le tint tout contre sa poitrine. Il ressentit une pointe de culpabilité lorsque l'animal leva son visage vers lui en quête d'attention.
Yokozawa avait été très absent de la maison ces derniers temps, il n'avait pas été en mesure de jouer avec Sorata autant qu’il l’aurait voulu ou de l'emmener voir son ancien maître, Takano. Sans aucun doute, Sorata en avait souffert.
-Je suis désolé de vous avoir dérangé à une heure aussi tardive.
-Ce n'est rien, c'est mon travail après tout. Occupez-vous plutôt de lui.
-Je n'y manquerai pas.
Il s'inclina à nouveau puis quitta la salle d'examen. Hiyori se précipita vers eux.
-Ah, Oniichan ! Comment va Sora-chan ?
-Il semble que ce n'est rien de plus qu'un petit coup de fatigue. Il n'est pas malade, donc il n'y a pas de raison de s’inquiéter.
-C'est vrai ? Super, Sora-chan ! Oh… Bonjour ! Je suis Hiyori ! Je suis ravie de faire ta connaissance.
Hiyori se mit sur la pointe des pieds pour caresser Sorata. Les yeux mi-clos, Sorata semblait apprécier les caresses de sa petite main.
-Rien de sérieux donc ?
-On dirait que j'ai exagéré… Désolé de vous avoir importunés pour si peu à une telle heure !
Il se confondit en excuses. A cause de son erreur, il les avait dérangés pour rien si tard dans la nuit !
-Mais pourquoi donc es-tu si abattu ? N'es-tu pas soulagé qu'il n'ait rien de grave ?
Kirishima lui donna une tape dans le dos.
Même s’ils avaient été appelés un dimanche soir sans raison, ni Kirishima ni Hiyori ne semblaient y accorder la moindre importance. Ils étaient seulement soulagés pour Sorata. En prendre conscience permit à Yokozawa de relâcher toute la tension de la soirée.
-Tu es sûr qu'il n'a pas besoin de médicament ?
-Ouais, je peux rentrer à la maison maintenant. Seulement… il n'est plus un chaton, alors le vétérinaire m'a demandé de garder un œil sur lui.
En récitant les conseils du docteur, Yokozawa fit glisser Sorata dans sa cage de transport. Ils ne pouvaient décemment pas traîner dans la salle d'attente de la clinique indéfiniment.
Quand ils finirent par sortir tous trois de la clinique, le ciel nocturne était piqueté d'étoiles et la lune s’était levée. Elles dardaient une lueur d’une clarté inhabituelle sur le quartier peu éclairé de Yokozawa.
-Garder un œil sur lui, d’accord, mais… même la journée ?
-Nan… je peux le laisser lorsque je suis au travail tout de même. J'aimerais passer plus de temps avec lui, mais je pense que c'est difficilement réalisable…
Il avait un travail après tout, il ne pouvait pas rester chez lui toute la journée pour Sorata. Il suffisait qu'il rentre plus tôt à la maison, voilà tout, même si cette semaine il avait encore beaucoup de travail en perspective.
L’idéal aurait été d’avoir un ami qui puisse garder Sorata. Takano était la seule personne assez proche de lui qui soit seule et qui puisse s’occuper d’un animal de compagnie. Mais il était hors de question qu'il lui demande de s’occuper du chat alors qu’il avait encore plus de travail que Yokozawa lui-même !
Alors qu’il passait en revue dans son esprit toutes les possibilités, la main d’Hiyori fusa en l’air et s'agita pour attirer son attention :
-Moi je peux le garder !
-Hein ?
-Sora-chan peut rester à la maison jusqu'à ce qu'il aille mieux ! Je suis en vacances cette semaine, je peux donc veiller sur lui à plein temps !
-C'est une excellente idée !
-N'est-ce pas, Papounet !?
L'approbation de son père la rendait toute fière.
Même si Yokozawa était touché par l'intention de la petite fille, il ne pouvait pas se résoudre à accepter sa proposition. Il avait pris Sorata à Takano en prétendant qu’il s'en occuperait bien mieux que lui. C’était donc son devoir de s’en occuper.
-Ton offre me touche, mais si tu désires prendre soin de Sorata, tu ne pourras plus aller t'amuser avec tes amies.
Il ne supportait pas l'idée qu’Hiyori ne puisse pas profiter pleinement de ses vacances à cause de lui.
Mais Hiyori campa sur sa position.
-Je peux jouer avec mes amies à tout moment ! C'est plus important que Sora-chan se rétablisse au plus vite, non ? Tu as du travail Oniichan, alors laisse-moi faire !
-Écoute Hiyo et accepte l'offre ! Tu ne lui fais pas confiance ?
-Ce n’est pas ce que j’ai dit !
-Tu es le seul à t’y opposer pourtant ! Je suis sûr que tu t’imagines que nous faire garder Sorata, ce serait nous poser plus de problèmes qu’autre chose.
-…
Kirishima lisait en lui si facilement… Yokozawa ne pouvait pas le contredire. Kirishima ne voyait en lui probablement rien de plus qu’un enfant.
-Alors je vais te le dire une bonne fois pour toutes : ça ne nous dérange pas le moins du monde ! En fait, ce qui nous dérange le plus, c'est te voir te débattre tout seul dans cette situation. Par conséquent, le chat vient avec nous, et toi aussi !
-Quoi ? Pourquoi est-ce que je-
-Je suis inquiet pour le chat, bien sûr, mais aussi pour toi. Ce n'est pas très sage de te laisser tout seul comme ça. Est-ce que tu t'es regardé dans un miroir récemment ? Tu as l’air vraiment mal en point.
-Arrête ça ! Et ne me touche pas !
Yokozawa gifla la main qui venait de se poser sur sa joue. S’il avait cette tête horrible, c’était parce qu'il s’était inquiété pour Sorata. Il n’était pas lui-même malade. C’était gentil de leur part de s’inquiéter pour lui, mais ce n’était pas nécessaire.
-Nous avons une chambre d'ami. Et si tout ce que tu fais en rentrant du boulot, c'est dormir, alors peu importe l'endroit où tu te trouves, non ? C'est une bonne idée, n'est-ce pas Hiyo ?
-Ouais ! Viens dormir à la maison, Oniichan ! C'est tellement mieux quand on est tous ensemble !
Quand Hiyori le fixait ainsi, avec ses yeux pétillants, Yokozawa ne pouvait pas résister. Même s’il avait conscience que tout cela était l'idée de Kirishima, il ne pouvait pas lutter contre l'innocence d'un enfant.
Il cracha à voix basse à Kirishima :
-C’est petit d’utiliser Hiyori comme ça…
-Utiliser tout ce qui est à ma portée pour parvenir à mes fins, c’est ma devise. Maintenant, arrête de râler et monte dans la voiture. Nous allons juste passer chez toi récupérer quelques affaires de rechange et les affaires du chat.
-Mais…
Yokozawa voulait protester mais Kirishima sortit son atout majeur :
-Et c'est un ordre. Tu n’as pas oublié ce que ça impliquait, n’est-ce pas ?
-…
Le sous-entendu rappela aussitôt à Yokozawa qui avait l’avantage. Une épée de Damoclès au-dessus de sa tête, il n'avait d'autre choix que d'obtempérer.
Voyant Yokozawa se taire, incapable de protester, Kirishima en profita pour conclure :
-Alors c'est réglé ! Ça te convient Hiyo, n'est-ce pas ?
-Ouaip !
-Hiyo, tu vas à l’arrière avec Sorata. Et assure-toi de bien boucler ta ceinture !
-Oui monsieur !
-Hé, attendez une minute ! protesta Yokozawa.
Hiyori empoigna la cage de transport de Sorata, comme le lui avait ordonné son père, et monta dans la voiture. Avant même qu’il ait le temps de réagir, Yokozawa fut poussé sur le siège passager à l'avant. Il dut se recroqueviller pour parvenir à se glisser dans l'espace exigu qui semblait avoir été réglé pour Hiyori.
-Yokozawa, tu boucles ta ceinture toi aussi !
Le sourire aux lèvres, Kirishima s’installa à la place du conducteur et la voiture fila au loin, conduisant ses quatre passagers, dont un félin, à la maison.
A suivre…

Omoshiroi~ J'aime de plus en plus !!!!
RépondreSupprimerAller, plus, plus !!!!! J'en veux plus XD
Ahlala, il se fait mener par le bout du nez celui-là ! Incapable de résister à l'innocence d'un enfant ? Le fait que la demande soit de Kirishima n'est pas non plus étrangère à sa réponse positive (bien qu'un peu forcée quand même x)) semble-t-il.
RépondreSupprimerSon inquiétude pour Sorata est quand même touchante, il y tiens vraiment à ce chat ^^
Encore un très bon chapitre :D
Bravo Sorata \o/ Grâce à toi, Yokozawa va aller habiter chez Kirishima et ça promet !!!
RépondreSupprimerDécidément, Kirishima a de la suite dans les idées xD
RépondreSupprimerJe me rappelais de ce passage, je l'ai trouvé bien sympa ^^
La suite, please ;)
Sorataaaaaaaa <3 que je l'adore ce chat :)
RépondreSupprimerça me rappelle que mon chat me manque :'(
Merci beaucoup à l'équipe qui fait ces superbes traductions :-) En plus, vous êtes très fidèles à la version anglaise. Bonne continuation. C'est génial :D
RépondreSupprimerHa! J ai flipper pour Sorata au debut >_< Mais maintenant ils vont s installer chez Kirishima ^^
RépondreSupprimerHaha c est comme un vrai couple !!
Meme si c est sous la menace, il y va comme meme de son plein gré non ? ^^
Merci pour la trad ^^
Pauvre petit chat ! Heureusement qu'il va bien. J'aurais été déçue qu'il meure. (oui je m'occupe que du chat et alors?)
RépondreSupprimerJ'ai hâte de lire la suite ;)
merchi a sorate XD
RépondreSupprimeryoko chan est si choueeeeee *3*